C'est une catastrophe fiscale qui va grever le budget de millions de Français, et qui va toucher de plein fouet les retraités comme les actifs :
Le prélèvement de l'impôt sur le revenu à la source, présenté initialement comme un avantage pour les contribuables, se révèle petit à petit être une gigantesque usine à gaz, où tout le monde est perdant – employeurs, salariés, retraités, entreprises, et même l'Etat !
Mais il reste une dernière chance que ce remue-ménage fiscal, qui vise à réduire directement le montant mensuel de votre salaire ou retraite, quelles que soient vos charges, soit finalement abandonné :
Et si les Français expriment aujourd'hui un rejet massif de cette mesure, pâle copie de systèmes fiscaux étrangers où l'impôt sur le revenu est infiniment plus simple qu'en France, et qui se révèle être une usine à gaz ingérable et coûteuse, Emmanuel Macron peut renoncer.
Votre opinion et votre action, aujourd'hui même, peuvent avoir un impact déterminant.
Alors, découvrez vite ci-dessous les principaux dangers du prélèvement à source :
* Danger n°1 : Les différentes déductions fiscales ne pouvant être prises en compte dans le taux de retenue à la source, l'Etat ponctionnera souvent trop d'impôt, chaque mois, sur le salaire ou la retraite, et il faudra attendre des mois avant d'être remboursé.
Pire, beaucoup de ménages qui, compte tenu des déductions fiscales, sont aujourd'hui sous la barre de l’impôt aujourd’hui, ne le seront plus demain. Ils se retrouveront ponctionnés à la source par l'impôt sur le revenu, et devront attendre plusieurs mois avant d'obtenir un remboursement. Quand les fins de mois sont déjà difficiles, c'est vraiment inacceptable.
Les retraités seront touchés de plein fouet puisqu'ils devront payer plein pot l'impôt sur le revenu, puis récupérer beaucoup plus tard le montant des déductions fiscales dont ils bénéficient pour les aides à domicile dont ils ont absolument besoin.
* Danger n° 2 : votre employeur, transformé en agent du fisc, va connaître votre taux d'imposition, donc une estimation des revenus de votre foyer.
Une indiscrétion d'autant plus inadmissible, qu'elle influencera nécessairement les négociations salariale. Prenez une personne dont le conjoint gagne très bien sa vie : comment imaginer que cela n'incitera pas le chef d'entreprise ou DRH à penser "celle-là, elle n'a pas besoin d'augmentation de salaire, son conjoint gagne bien sa vie !" ?
Seul moyen d'échapper à ce déballage d'information auprès de votre employeur : opter pour un taux d'imposition "individualisé". Mais dans ce cas-là, le foyer aura de fortes régularisations à payer ou à récupérer plus tard.
Peut-on imaginer plus compliqué et plus pénalisant ?
* Danger n° 3 : d'aucuns alertent sur le fait que ce taux d'impôt "individualisé" annonce la fin du quotient familial, c'est-à-dire la fin des demi-parts des enfants qui allègent l'impôt payé par la famille.
* Danger n° 4 : Les entreprises vont devoir assumer le rôle du fisc, avec des frais et des coûts de gestion supplémentaires : logiciels, comptables, etc. Mais côté administration, les économies attendues en termes de baisse de nombre de fonctionnaires à Bercy sont faibles voire inexistantes.
Ou comment handicaper encore un peu plus les entreprises françaises et l'emploi, sans gain réel pour les dépenses publiques et les contribuables.
* Danger n° 5 : un bazar terrible pour des millions d'employés des commerces et PME qui n'auront pas pu mettre leur logiciel de paye à jour à temps.
Liste non exhaustive…
… puis transférer ce mail à tous vos amis et contacts, pour leur donner l'occasion eux-aussi d'envoyer un message très fort au chef de l'Etat au moment-même où il doute de l'intérêt de cette mesure fiscale.
Cela vous prendra quelques minutes aujourd'hui, pour que demain, vous-même et des millions d'autres Français évitent des problèmes d'argent en fin de mois, et des complications administratives sans fin avec les services des impôts.