Quand les industriels ne nous laissent pas le choix |
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C'est la consommation moyenne par an de poissons sauvages et d'élevage en France. Une consommation trois fois supérieure* à ce qui serait durable, en limitant au maximum notre impact sur les écosystèmes marins. |
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Une consommation qui va bien au-delà de ce que nos pêcheurs français peuvent pêcher, puisque 66% des poissons que nous consommons proviennent de quinze pays. Arrivent en tête, le saumon, la crevette, le cabillaud et le thon.* |
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Pourtant, une consommation durable ne devrait reposer que sur la pêche de poissons sauvages. Or, de nombreux poissons favoris des français proviennent d'élevage industriels, nécessitant d'énormes quantités de poissons sauvages pour leur alimentation. Ainsi, près de 20% des poissons sauvages pêchés chaque année, sont réduits en farine afin de nourrir ces poissons d'élevage alors qu'ils sont tout à fait comestibles*. |
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Notre consommation non durable fait donc le jeu des industriels de la pêche : 75% des poissons en France sont achetés en grande distribution et proviennent essentiellement de la pêche et de l'élevage industriels. |
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In fine, les citoyens sont délibérément trompés, puisque la grande distribution se vante de vendre du poisson durable, alors que 83% des poissons portant le label MSC "pêche durable" — en situation de monopole — proviennent de pêcheries industrielles et destructrices*. Alors, comment consommer de manière responsable ? Vous pouvez agir en réduisant votre consommation de poissons et en privilégiant du poisson local pêché de manière douce par les artisans français. Mais ce ne sera pas suffisant. BLOOM vous propose d'aller plus loin en transformant en profondeur le modèle existant et destructeur de la pêche. |
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Les décideurs politiques et industriels se plaisent à incriminer les consommateurs mais c'est juste une manière de se défausser de leurs responsabilités. Ce sont eux, les maîtres du jeu. En donnant 60€ à BLOOM, soit 20,4€ après déduction fiscale, vous pouvez changer ces règles qui nous sont imposées. Attaquons-nous à la source du problème : la pêche industrielle et la grande distribution, qui prononcent la sentence de mort de l'océan et des pêcheurs artisans. Battons-nous pour retrouver sur nos étals du poisson pêché de manière réellement durable et locale ! |
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Un grand merci de changer avec nous les règles du jeu, L'équipe de BLOOM Alexia, Fanny, Frédéric, Isaure, Jasmina, Lætitia, Sabine, Valérie |
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