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L'Alternative Citoyenne de la Manche s'inscrit dans une démarche politique nouvelle. Elle se fixe comme objectif de faire en sorte que la Gauche gagne et réussisse
Publié le 30 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Annonces, Droit des femmes
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Publié le 27 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Services publics
URGENT INVITATION A LA CRÉATION DU COLLECTIF D'USAGERS DE DÉFENSE DES USAGERS DES GARES DU SUD MANCHE
Comme vous le savez certainement, les guichets des gares d'Avranches et Villedieu doivent fermer définitivement fin mars 2018, donc il y a URGENCE à réagir.
C'est un recul énorme du service public dans le Sud Manche qui n'est déjà pas bien desservi par le transport ferroviaire, et un recul supplémentaire de l'emploi sur notre bassin d'emploi..
C'est pourquoi nous proposons de créer un Collectif de défense des gares du Sud Manche le plus large possible afin de pouvoir peser sur ces décisions injustifiées au sens du Service Public.
Nous vous convions donc le vendredi 2 février 2018 à 20h30 au café solidaire le Ti'Boussa rue de la Liberté à Avranches à la réunion de mise en place du Collectif, afin d'organiser une réunion publique la semaine suivante et définir un plan d'action pour empêcher les fermetures des guichets.
Nous comptons sur votre présence afin d'être ensemble le plus fort possible.
Merci de répondre à ce mail afin d'organiser la logistique.
Ci joint un communiqué à diffuser autour de vous par vos réseaux.
On lâche rien!!
Publié le 27 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Environnement
Pour un moratoire sur la construction de nouvelles zones commerciales !
Les inondations qui touchent notre pays sont de plus en plus fréquentes. Et il serait faux de croire que les aléas climatiques soient la seule explication !
L’artificialisation des terres agricoles imperméabilise plusieurs dizaines de milliers d’hectares chaque année en France. Chaque minute, ce sont environ 1000 m² de terres généralement agricoles qui sont recouvertes sous du bitume ou du béton !
Tous les 7 ans, la surface d’un département est ainsi artificialisée.
Généralement situés en périphérie urbaine, ces espaces servaient de zones tampon et permettaient une régulation hydrique qui fait défaut aujourd’hui.
La France compte 807 centres commerciaux s’étalant sur plus de 17 millions de m². Parce que « trop n’est jamais assez », ce sont près de 77 nouvelles grandes surfaces qui pourraient sortir de terre en 2018.
Or, selon un sondage exclusif* mené par l’IFOP pour le compte d’Agir pour l’Environnement, 92% des personnes consultées estiment que la France est suffisamment dotée en hypermarchés, notamment en périphérie urbaine.
Chaque année, une bien peu transparente « Commission Nationale d’Aménagement Commercial » valide entre 2 et 3 millions de m² supplémentaires d’espace commercial ! Entre 2010 et 2016, le pourcentage d’autorisations se situe invariablement entre 88 et 90%.
Nous payons aujourd’hui des décennies d’incurie. Selon l’agronome Jacques Caplat d’Agir pour l’Environnement, une terre bien structurée et riche en matières organiques, c’est-à-dire en petites racines, en humus, en vers de terre, absorbe 100 mm d’eau par heure (jusqu’à 300 mm dans certains cas) !
Il est grand temps d’adopter un moratoire sur la construction ou l’extension de nouvelles surfaces commerciales situées en périphérie urbaine.
* L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus entre les 9 et 10 janvier 2018
Publié le 26 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Santé, Luttes
Un rassemblement est prévu mardi 30 janvier à Saint-Lô à 14 heures devant le conseil départemental
Covoiturage au départ de Granville : rdv parking du stade Dior à 13 h
Publié le 25 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Santé
Le service public est au bord de l’épuisement. Urgences engorgées, personnels fatigués : les hôpitaux souffrent, les conflits sociaux explosent. Ces derniers jours, la révolte s’est étendue sur les réseaux sociaux à travers le hashtag « #BalanceTonHosto ».
Publié le 25 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Santé
Il y a des entreprises qui, aux yeux de l'Assurance maladie, présentent un niveau d'absentéisme "anormal": quatre fois plus d'arrêts de travail que leurs consoeurs de leur secteur dans la même région. Pour les faire revenir dans le droit chemin, elle a lancé une expérimentation inédite: les alerter sur leur score record, tout en les informant sur les motifs d'absences de leurs salariés. Entretien avec Laurent Bailly, responsable du département des services aux assurés, en charge du programme.
Pourquoi cette expérimentation, qui a donné lieu à des premières visites d'entreprise en novembre et décembre 2017?
L'entreprise connaît son taux absentéisme, mais n'a pas de point de comparaison avec ses concurrents. Lui apporter ces informations peut la "challenger". Et lui faire amorcer une réflexion sur ses conditions de travail, puisqu'on sait qu'il y a une corrélation entre ces dernières et le nombre et la durée des arrêts. Pour encourager la prise de conscience, nous convertissons les absences en coût direct (valeur des salaires versés) et en coûts indirects (nous renvoyons à des études ayant calculé que ceux-ci atteignent un à quatre fois les coûts directs).
REPORTAGE >> "Elle est en arrêt maladie, on la découvre radieuse sur Facebook, à Deauville"
Mais vous allez aussi plus loin en divulguant à l'entreprise les motifs des arrêts de travail de ses salariés...
Effectivement. En cas de contrôle de l'assuré, le motif de l'arrêt est codifié, nous disposons donc de l'information. En l'absence de contrôle, nous parvenons à reconstituer la pathologie à partir des consultations et des remboursements de médicaments. Par exemple, si le salarié a vu un psychiatre et pris des antidépresseurs, on peut en conclure qu'il a été arrêté pour dépression. Ce sont des algorithmes qui font le travail. Ils ont été développés à l'origine par le service du contrôle médical, pour essayer de mieux prévoir les contrôles en fonction des pathologies.
Et le secret médical, dans tout cela?
Toutes les données sont analysées avec les médecins conseils et les Carsat (caisses retraite et santé au travail), et on s'assure qu'il n'est pas possible, même de manière indirecte, de tracer les personnes. Par ailleurs, nous nous focalisons uniquement sur les établissements de plus de deux cent salariés. Dans les plus petites sociétés, l'employeur pourrait trop facilement établir un lien évident avec tel ou tel collaborateur. Les partenaires sociaux nous ont donné le feu vert pour cette expérimentation, convaincus par les garanties de secret médical que nous leur avons apportées.
Qu'en dit la Commission nationale de l'informatique et des libertés?
Nous n'avons pas de demande d'autorisation à effectuer auprès de la Cnil. Pour l'utilisation de de ces données à titre expérimental, nous sommes couverts par des décrets qui permettent une simple déclaration de conformité.
Présentez-vous à l'employeur les motifs des arrêts de façon exhaustive?
Nous ciblons uniquement les arrêts pour troubles musculo-squelettiques (TMS), les lombalgies (même si elles peuvent relever d'un TMS), et ceux liés aux risques psychosociaux (RPS). Nous laissons de côté les petits arrêts courants (virus, poignet foulé, etc.), ainsi que les affections de longue durée (pour diabète par exemple), qui pourraient parasiter les données d'absentéisme.
L'employeur n'est pas curieux de savoir à quoi correspondent ces "autres" arrêts?
Quand ils représentent 30 à 40% des absences, si. Il faudrait qu'on puisse apporter plus d'information, sans pour autant dévoiler les motifs, car il y a plus de risque de trahir le secret médical. Nous pourrions à l'avenir, au moins avertir de l'existence de pathologies assez typées. Ou indiquer s'il s'agit de causes pouvant disparaître en agissant sur la qualité de vie au travail, ou s'il s'agit "juste" de grippes et autres virus.
Comment avez-vous choisi les premières entreprises à visiter?
Nous avons regardé les plus gros "atypismes" sur notre tableau, puis avons réalisé un petit mix territorial. Pour l'instant, cinq entreprises ont été visitées, à Amiens, Bourg en Bresse, Marseille, Grenoble et l'une sur la Côte d'opale. Elles relèvent du secteur de l'aide à la personne, du conseil, du gardiennage et de la sécurité. En nombre d'heures d'arrêt de travail, elles se situent à un niveau quatre fois supérieur à celui des entreprises de leur secteur et de leur région. Leur taux d'absentéisme est énorme: 20%.
Quel accueil vous ont-elles réservé?
Ce sont les directeurs de caisse qui se déplacent. Ainsi le chef d'entreprise est en face de quelqu'un qui, potentiellement, connaît les mêmes problématiques de gestion des ressources humaines, de management. Le dialogue peut s'instaurer plus facilement que s'il avait en face de lui un "simple" agent. À la prise de rendez-vous, comme prévu, il y a eu des réticences vis-à-vis de l'institution. Dans deux entretiens sur quatre, le dirigeant nous a dit que la durée des arrêts de travail était aussi notre problème. On leur répond que nos actions de contrôles sont conséquentes. Mais du coup, on s'est dit que, la prochaine fois, avant de démarcher l'entreprise, on contrôlerait ses salariés en arrêt au préalable, pour que l'argument ne puisse pas nous être opposé.
Que ressort-il de ces visites?
Les dirigeants ont un discours laissant entendre une prise de conscience. On verra au prochain rendez-vous, dans six mois, si des actions ont bien été mises en place. Nous nous positionnons en tout cas dans une logique "d'offre de service" et pas de "contrôle". Nous tenons à disposition les coordonnées des services prévention de la Carsat, au besoin.
Combien d'entreprises doivent s'attendre à une visite, en 2018?
Une quarantaine. Nous visons 200 entreprises par an, à terme.
Publié le 23 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans International
Des richesses générées l’année dernière, 82 % ont profité aux 1 % les plus riches de la population mondiale, alors que les 3,7 milliards de personnes qui forment la moitié la plus pauvre de la planète n’en ont rien vu. C’est ce que révèle un nouveau rapport d’Oxfam, « Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent », publié aujourd’hui, à la veille du Forum économique mondial qui rassemblera le gotha du monde politique et des affaires à Davos, en Suisse.
Ce rapport montre comment le système économique mondial permet à une élite fortunée d’accumuler d’immenses richesses, tandis que des centaines de millions de personnes peinent à survivre avec un salaire de misère.
Le rapport d’Oxfam précise les principaux facteurs qui contribuent à accroître les rémunérations des actionnaires et des dirigeant-e-s d’entreprise au détriment du salaire et des conditions de travail : l’érosion des droits des travailleurs, l’influence excessive des grandes entreprises sur les politiques publiques et la constante volonté des entreprises de réduire au minimum les coûts pour maximiser les dividendes des actionnaires.
Pour Winnie Byanyima, directrice générale d’Oxfam International, « le boom des milliardaires n’est pas le signe d’une économie florissante, mais le symptôme d’un système économique défaillant. Les personnes qui fabriquent nos vêtements, assemblent nos téléphones et cultivent notre nourriture sont exploitées pour assurer un approvisionnement continu de produits bon marché et grossir les profits des multinationales et de leurs investisseurs milliardaires. »
Les travailleuses se retrouvent souvent au bas de l’échelle. Partout dans le monde, les femmes gagnent systématiquement moins que les hommes et occupent généralement les types d’emplois les moins rémunérés et les plus précaires. En revanche, 9 milliardaires sur 10 sont des hommes.
« Oxfam a parlé à des femmes du monde entier, dont les inégalités gâchent l’existence, explique Winnie Byanyima. Des ouvrières d’usines de confection, au Vietnam, qui travaillent si loin de chez elles pour gagner un salaire si maigre qu’elles ne peuvent pas voir leurs enfants pendant des mois. Des ouvrières de l’industrie avicole, aux États-Unis, qui sont obligées de porter des couches faute de pouvoir prendre des pauses toilettes. Des employées de l’hôtellerie, au Canada et en République dominicaine, qui taisent le harcèlement sexuel dont elles font l’objet par crainte de perdre leur travail. »
Oxfam appelle les gouvernements à prendre les mesures suivantes, afin que nos économies bénéficient à toutes et tous, et non à quelques privilégié-e-s seulement :
Les résultats d’une nouvelle enquête mondiale commandée par Oxfam mettent en évidence une vague de soutien en faveur de la lutte contre les inégalités. Au total, 70 000 personnes ont été interrogées dans dix pays. Près des deux tiers pensent qu’il est urgent de réduire le fossé entre les riches et les pauvres.
« Il est difficile de trouver des responsables politiques et des chefs d’entreprise qui affirment ne pas s’inquiéter des inégalités. Il est encore plus difficile d’en trouver qui prennent des mesures pour les combattre. Au contraire, beaucoup aggravent les choses en réduisant les impôts et en affaiblissant les droits du travail, déplore Winnie Byanyima.
« Les citoyennes et citoyens veulent que les choses changent. Ils veulent que les travailleuses et travailleurs soient rémunérés décemment, que les grandes entreprises et les super-riches paient plus d’impôts, que les femmes jouissent des mêmes droits que leurs homologues masculins, qu’il y ait une limite au pouvoir et à la fortune pouvant se concentrer entre si peu de mains. Ils veulent des mesures concrètes. »
Le rapport « Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent » et la méthodologie, qui explique comment Oxfam a obtenu les statistiques y figurant, sont téléchargeables ici.
Vidéos et photos haute définition de Lan, ouvrière dans une usine de confection vietnamienne qui fournit nombre de marques mondiales de la mode. Cela fait neuf mois que Lan n’a pas pu rentrer voir son fils du fait de ses longues heures de travail et de la faiblesse de son salaire.
Selon de nouvelles données du Credit Suisse, 42 personnes possèdent désormais autant que la moitié la plus pauvre de l’humanité. Ce chiffre n’est pas comparable à ceux des années précédentes, notamment la statistique des huit hommes détenant autant de richesses que la moitié du monde (2016-2017), car il repose sur des données actualisées et enrichies, publiées par le Credit Suisse en novembre 2017. En revoyant les chiffres de l’an dernier à la lumière de ces nouvelles données, Oxfam a calculé que 61 personnes possédaient autant que la moitié de la planète en 2016.
Les calculs d’Oxfam sont basés sur les données fournies par le Credit Suisse dans son rapport Global Wealth Databook publié en novembre 2017. Le patrimoine des milliardaires a été calculé à l’aide du classement des milliardaires publié par le magazine Forbes en mars 2017.
RIWI et YouGov ont réalisé l’enquête en ligne pour Oxfam dans les dix pays suivants : Inde, Nigeria, États-Unis, Royaume-Uni, Mexique, Afrique du Sud, Espagne, Maroc, Pays-Bas et Danemark. Pour plus d’informations sur la méthodologie et l’intégralité des résultats, voir ici.
Publié le 23 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Environnement
La dernière tempête Eléanor qui a sévit dans le pays, a provoqué de nombreux dégâts, sur la côte Ouest du département de la Manche.
Dans le Sud du Département, et plus particulièrement sur Saint Jean Le Thomas, ladite tempête accompagnant des marées de 106/107, a laissé des traces importantes sur le mur de bord de place d’une propriété prolongeant la digue de la plage.
Mais aussi et les photos le montrent suffisamment la dune entre cette propriété et les cabanes blanches du camping municipal pourtant protégé par un enrochement sur partie, est parfois à quelques mètres desdites cabanes.
On voit très nettement sur les photos que la dune derrière l’enrochement s’est effondrée.
Après le parking la dune en fond de plage s’est écroulée en plusieurs endroits, les sacs ne sable n’ont pas résisté. Ceux-ci une fois éventrés sont ballotés par les marées et participent à la pollution marine au détriment de la faune marine.
Dans la Manche Libre qui a suivi la tempête, ce fut le branle bas de combat, a commencé par le maire de St Jean le Thomas, qui souffle le chaud et le froid.
Il va sollicité des services de l’État, un arrêté de catastrophe naturelle, et demande à ce que des mesures importantes soient prises pour protéger la dune contre les assauts des futures tempêtes sans pour autant ne jamais évoquer les effets prégnants du réchauffement climatique engendrant une montée inexorable du niveau des mers et océans.
Mais dans le même article il rappelle volontiers qu’il est maire depuis 25 ans et qu’il faut protéger les quelques 140 maisons se trouvant derrière la dune.
Entendant cet appel l’édile de Genêts a volé au secours de notre maire pour lui proposer des gros sacs de sable, remplis au Bec d’Andaine, afin d’endiguer, le littoral de St Jean Le Thomas.
Or de Saint Jean Le Thomas au Bec d’Andaine, se trouve en retrait dunaire une immense zone humide, irriguée par le ruisseau côtier de Claire Douve, alimentant deux pièces d’eau, se jetant ensuite dans les herbus au Nord de Genêts et de la Lerre.
De plus maire et adjoint suggèrent en cas d’inondation de cette zone de pomper au lieudit « le Pont Neuf » et de rejeter à la mer !
Nous voilà revenus au temps des shadocks « ils pompaient, ils pompaient... »
Point n’est besoin d’être grand clerc ou énarque pour savourer ces joyeusetés « édilesques », voir « abracadabrantesques » en effet :
- Pomper une zone inondée (par submersion marine) pour la rejeter en mer, il fallait oser !
- Le maire de St Jean le Thomas, crie à l’eau, à l’eau pour protéger des maisons dont il a vraisemblablement délivré les permis.
- Les photos sont claires, les « gros » sacs de sable ne résisteront pas longtemps aux assauts des vagues.
Donc on en revient toujours à la même constatation :
- le réchauffement climatique est là et bien là avec comme corollaire une montée des eaux difficilement endiguable.
- les leçons de la tempête Xynthia ne semblent toujours tirées.
- Qui doit indemniser ? Parce qu’à certains endroits il va falloir commencer à évacuer afin d’éviter des catastrophes.
D’autres photos pour illustrer cet article notamment à Gouville avec ses « gros » sacs de sable éventrés et/ou ensevelis.
Mais il est bon de rappeler :
Qu’à Jullouville/Kayron, certains riverains ne sont protégés que par une dune fragilisée par Eléanor, et quand on sait qu’une grande partie de cette commune est en en zone inondable et de submersion marine, on se demande pourquoi des élus s’entêtent à délivrer des permis de construire !
Qu’à Pirou l’ancien lotissement fantôme derrière la dune, situé en dessous du trait de côte, fait toujours rêver l’édile pour y réaliser un projet d’aménagement ?
Qu’à Genêts, l’AGEB s’interrogeant sur les effets tant de la tempête que de l’ensablement de la baie consécutivement aux travaux du Mont Saint Michel auprès de Mme le Maire, s’est vue éconduite, l’élue s’estimant compétente en la matière ! Elle va donc remplir avec sa petite pelle et son petit seau les « gros » sacs de sables pour St Jean le Thomas.
Joël BELLENFANT
Publié le 22 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Luttes, Environnement
Si VOUS VOULEZ ALLER A NDDL LE 10 FEVRIER : 2 POSSIBILITÉS:
Bus au départ de CAEN le 10 février : rendez-vous 07h15 pour un départ à 07h30 devant Lycée Malherbe, avenue Albert Sorel à Caen.
Arrêt à Guilberville à 8h30 parking du resto
Arrêt à la gare d'Avranches à 9h00
Que chacun-e apporte son pique-nique. Si vous souhaitez apporter des végétaux pour planter dans la Zad, ils seront collectés pour être protégés, mis en nourrice et-ou directement plantés selon les conditions météo.
– Inscription sur https://frama.link/NDDL10fevrier
renseignements :
comite14nddl@gmail.com ou 06.85.73.26.41
Voir les appels et infos sur le site de l’ACIPA et de la ZAD.
OU ALORS
Organisation covoiturage vers Notre dame des Landes Samedi 10 février 2018
Si vous comptez vous rendre en voiture à NDDL le 10 février et que vous avez des places disponibles
Ou si vous voulez vous rendre à NDDL et que vous cherchez une place
Merci de nous le faire savoir par Email afin que nous puissions vous mettre en relation
et à : huetl@wanadoo.fr
merci d’envoyer vos demandes aux deux adresses afin d’éviter autant que faire se peut des loupés éventuels !
Pour le comité NDDL
Michel Juhel
Publié le 22 Janvier 2018 par Alternative Citoyenne de la Manche dans Politique
L'Assemblée cherche de la place. Plutôt que l'achat du fameux hôtel de Broglie, un gouffre financier plus de 60 millions d'euros d'achat, certains députés lorgnent du côté des fonctionnaires. Des non élus, qui pour certains, disposent d'appartements privés, comme le révèle un document que France Inter a pu consulter.
On y apprend notamment que le secrétaire général de l'Assemblée nationale, rémunéré à hauteur de 18 000 euros net par mois, dispose d'un logement de 182m² ainsi que d'un majordome, qui lui occupe un appartement de 49 m².
Pour le directeur de cabinet du président de l'Assemblée, c'est 149 m² en plus d'un salaire 10 000 euros net par mois. Encore plus surprenant : le chef du département "génie climatique", rémunéré 7 750€ par mois, tout comme celui du département électrique et qui occupent eux aussi des appartements de l'Assemblée. Respectivement 167 m² et 107 m².
Au total, ce sont près de 1 700 m² qui sont mis à la disposition des fonctionnaires sans que ces derniers n'aient à débourser de loyer.
La place est toute trouvée, hurle une députée de l'opposition qui estime que "comme tous les citoyens, ils touchent suffisamment pour se loger par leurs propres moyens".
Quand il a découvert ce document en fin de semaine dernière, cet autre député n'en a pas cru ses yeux. Le fameux document a été transmis à François de Rugy par le premier questeur Florian Bachelier, fer de lance du combat pour l'exemplarité à l'Assemblée. Un document gardé secrètement par le président de l'Assemblée nationale.
Interrogé, l'entourage du président de l'Assemblée précise que ces avantages sont un héritage des précédentes mandatures, qu'il n'y a pas de sujet tabou, et qu'il pourrait bouger sur ce dossier.