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L'Alternative Citoyenne de la Manche s'inscrit dans une démarche politique nouvelle. Elle se fixe comme objectif de faire en sorte que la Gauche gagne et réussisse
Publié le 30 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
Publié le 22 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
Discours du président de l’Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) de Savigny-sur-Orge (91), à l’occasion du 11 novembre 2021.
Comment rendre hommage aux combattants aujourd’hui disparus de la Grande Guerre ? En défendant avec vigilance et détermination ce que leur sacrifice a permis de sauvegarder : la démocratie républicaine.
La démocratie tout comme la République n’est jamais assurée de sa pérennité. Nous le savons et nous, nous ne l’oublions pas, la défaite française en 1940 fut celle de la démocratie. Elle permit aux adversaires de la République, d’en finir avec la gueuse, grâce au nazisme et à l’extrême droite fasciste qui n’avait cessé de la dénigrer, de la calomnier et aux gouvernements dès 1938 avec Daladier de l’affaiblir. Ce fut Pétain qui s’en chargea. Au triptyque hérité de la Révolution : Liberté, Égalité, Fraternité, le régime de Vichy lui substitua celui de, travail, famille, patrie de l’État français.
La Libération rétablit la République et la démocratie.
Nous sentons la démocratie menacée, et maintenant la république quand, la volonté de réhabiliter le fossoyeurs de la République Pétain est ouvertement proclamée, et que sont martelées les pires contre-vérités historiques sur son action. Démocratie d’autant plus menacée que cela vient se greffer sur des déclarations que nous avons eu l’occasion de dénoncer, en particulier le 27 mai à l’occasion de l’hommage à la Résistance et qui prône la remise en cause totale de l’œuvre centrale du CNR, et des Jours heureux, elle que les anciens combattant se donnèrent, toutes sensibilitsé politique confondues, au plan démocratique, économique, social.
Ce n’est pas n’importe quelle voix qui portait cette déclaration, c’est celle de Denis Kessler, vice-président du MEDEF, dans Challenges et c’était en 2007. Il s’agit de remettre en cause tous ces acquis. Or la pioche des démolisseurs est à l’œuvre : tentatives diverses de privatiser l’enseignement public, remise en cause de la retraite, de l’assurance chômage, de la sécurité sociale, démantèlement de la fonction publique, privatisation des barrages, de sources d’énergie, des grands moyens de transports, des aéroports, mépris des communes et des départements aux profit d’agglomérations, de métropoles si éloignées du citoyen, marchandisation tous azimut de ce qui relève des services publics, menaces réaffirmées contre la laïcité et la loi de 1905 de séparation, la liste est longue…
Non ne détournons pas notre regard, dépositaires d’une partie importante de la mémoire collective, assumons ce devoir de vigilance que nous impose le sacrifice de ceux auxquels régulièrement nous rendons hommage.
Comment ne serions-nous pas inquiets et alertés quand à la faveur de l’élection présidentielle un candidat auquel on ne cesse donner complaisamment la parole ose, disais-je, réhabiliter le collaborationniste Pétain, nier sa participation active dans la déportation des juifs, comme si le président Chirac n’avait pas acté définitivement en notre nom et pour notre honneur cette infamie de celui qui saluait ceux qui combattait sous l’uniforme allemand sur le front de l’Est avec ultime forfaiture le drapeau tricolore.
Et cette ignoble imposture reçoit peu de désapprobation, des éditorialistes, pire les sondages indiquent, ignorance, amnésie, ou complicité, une adhésion effrayante. Comment en serait-il autrement si l’une des œuvres fondamentales des combattants de la Libération, la liberté de la presse, dont ils voulaient qu’elle soit le quatrième pouvoir n’était pas défaite, de manière insidieuse, par la mainmise des neuf dixièmes des médias par une poignée de milliardaires, de telles révisons de l’histoire ne les dérangent pas.
Comme ne les dérange pas qu’on fasse, et que c’est pitoyable, de de Gaulle le compère de celui qui le fit condamner à mort, en affirmant qu’ils se seraient répartis les rôles. Non l’ARAC ne laissera pas ces faussaires maltraiter l’Histoire par ceux qui, comme le 19 mars débaptisent les voies rappelant le cessez-le-feu, voulu par le général de Gaulle et le peuple français. Oui la démocratie leur pèse, elle leur est insupportable, ils n’aiment pas la République.
Oui, nous vivons une période qui s’apparente trop à celle de 1938-1939 qui préparait les esprits au pétainisme.
Oui, nous vivons une période qui s’apparente trop à celle de 1938-1939 qui préparait les esprits au pétainisme.
Aujourd’hui on laisse certains stigmatiser toute une communauté, les musulmans apparaissant comme ceux qui nourrissent le terrorisme. À l’ARAC de Savigny, nos amis savent que nous avons été payés au Bataclan pour savoir ce qu’est un attentat mais aussi pour mépriser ce type de rapprochement et distinguer ceux qui nous font la guerre, et ceux dont on fait des boucs émissaires.
Mais cette démarche n’est-elle pas celle de l’avant-guerre quand on faisait des juifs, étrangers et puis français, et – c’était le terme à l’époque – des métèques les responsables des maux qui s’annonçaient en Europe. Cette propagande forgea l’état d’esprit vichyste.
Dès le début de la guerre on emprisonna les anti fascistes et les anti nazis qui après avoir combattu, en Italie et en Allemagne, se réfugièrent en France, pour continuer eux le combat, beaucoup rallièrent le moment venu de Gaulle. Arthur Koestler raconte, dans La Lie de la terre cet accueil, cette hostilité. Il fut incarcéré, à Roland Garros puis au camp du Vernet après les républicains espagnols, avant les juifs et les gaullistes, le camp du Vernet qu’il comparait à Buchenwald.
Alors ne laissons pas se répandre ce poison. Car l’ostracisme, les mesures ségrégationnistes sont rapides à se répandre. On le voit à l’occasion de la lutte contre la pandémie, aux mesures liberticides sans rapport avec la santé viennent s’ajouter maintenant des propos qui rappellent aux associations d’anciens combattant des heures sombres de notre histoire, comme celle de ce journaliste, omniprésent, extrêmement proche du Président, envisager des brigades , disposant d’un fichier, pour se rendre chez les non-vaccinés. Ne manque à sa proposition que le port pour ces brigades de la chemise brune ou noire.
Devoir de mémoire donc et fidélité à cette volonté exprimée dès la fondation de l’ARAC en 1917, « guerre à la guerre ». Comment là aussi ne serions-nous pas inquiets devant la monstrueuse explosion de la production des armes ? Les armes, on ne les stocke pas, elles doivent être utilisées le plus rapidement possible sous peine d’être obsolètes. Le plus gros producteur nous a entraînés dans le lamentable conflit de l’Afghanistan, Jacques Chirac sut nous éviter l’agression en Irak qui reposait sur l’énorme mensonge de l’existence d’armes de destruction massive. Devrons nous encore être soumis à la politique de l’OTAN et donc à celle des USA, engagés dans une coalition hétéroclite que la guerre froide ne justifie plus. Et que déjà rejetait le général de Gaulle quand malgré les représailles économiques des ISA et de ses affidés, il décida de quitter le commandement intégré de l’OTAN.
Défendre la démocratie par la vérité historique à laquelle la jeunesse a droit, lutter contre les menaces de guerre en préservant notre indépendance, c’est rendre hommage aux anciens combattants de toutes les guerres.
Défendre la démocratie par la vérité historique à laquelle la jeunesse a droit, lutter contre les menaces de guerre en préservant notre indépendance, c’est rendre hommage aux anciens combattants de toutes les guerres.
C’est aujourd’hui, saluer la mémoire de ceux qui furent sacrifiés par la décision de généraux indignes, qui ordonnèrent pour ce qu’ils appelaient l’exemple qu’ils soient fusillés, et voués eux et leur famille au déshonneur, véhiculé par une propagande destinée à masquer la responsabilité du haut commandement : « les fusillés pour l’exemple »
Publié le 18 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
La liste des organisations signataires :
ACORT – Groupe Femmes de Turquie ; ActionAid France (AAF) ; Amnesty International France ; ANESF (Association Nationales des Étudiant.e.s Sages-Femmes) ; Association Carl ; Association CHEDA ;Association Citoy’Elles ; Association Femmes Sourdes Citoyennes et Solidaires (FSCS) ; Association Innocence en Danger ; Association nationale des sages- femmes libérales ; Association ViP : aide aux Victimes d’Inceste et de Pédocriminalité ; CARE France ; Chiennes de garde ; Ciane – Collectif interassociatif autour de la naissance ; Collectif Abandon de Famille – Tolérance Zéro! ; Collectif Georgette Sand ; Collectif National Droits des femmes ; Confédération Générale du Travail (CGT) ; Dans le Genre Égales ; EELV ; Ensemble! ; Equipop ; Excision, parlons-en ! ; Fédération des Associations Générales Étudiantes (FAGE) ; Femmes Egalité ; Fonds pour les Femmes en Méditerranée ; Force Jaune ; FSU ; Génération.s ; HandsAway ; La France insoumise ; Le Parti Communiste des Ouvriers de France ; Le Planning Familial ; Les Ateliers du Travail ; Les effronté-es ; Ligue des droits de l’Homme (LDH) ; Ligue des Femmes Iraniennes pour la Démocratie- LFID ; Marche Mondiale des Femmes Paris/IdF ; Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF) ; Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) ; Organisation Nationale Syndicale des Sages-femmes ; Parents & Féministes ; Parti Communiste des Ouvriers de France ; Parti communiste français ; Parti de gauche ; Parti Socialiste ; Pépite Sexiste ; Plan International France ; Protéger l’enfant ; SOS homophobie ; Stop aux Violences Obstétricales et Gynécologiques @StopVOGfr ; Stop Harcèlement De Rue ; The ONE Campaign ; TJK-F(mouvement des femmes kurdes) ; Union citoyenne pour la Liberté ; Union Nationale des Étudiants de France (UNEF) ; Union Nationale des Familles de Féminicide (UNFF) ; Union Syndicale Solidaires ; Wetoo Stop Child Abuse ; Women Safe & Childre
Publié le 11 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
Publié le 11 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
En cours / Installation : EPR Flamanville
Par arrêté du 30 août 2021, EDF a été autorisée à exploiter l’EPR de Flamanville, aux termes d’une procédure de consultation extrêmement contestable. Il ne s’agit ici que d’une des nombreuses autorisations administratives que doit encore recevoir l’entreprise pour mettre en service le réacteur, mais cette décision n’en est pas moins irresponsable. Alors même que le réacteur est toujours affecté de nombreuses malfaçons, EDF poursuit sa marche forcée pour préparer son démarrage coûte que coûte. Nous dénonçons fermement cette irresponsable fuite en avant. Un recours en annulation a été déposé à l’encontre de cet arrêté le 2 novembre 2021.
Persistant à vouloir démarrer l’EPR de Flamanville fin 2022 malgré les problèmes non résolus qui l’affectent, EDF a déposé en mars 2021 son dossier de demande d’autorisation d’exploitation [1]. Censé démontrer la pertinence du projet d’un point de vue énergétique, celui-ci a été mis en consultation par le gouvernement dans le cadre de la procédure d’instruction. Ne dérogeant pas à la coutume, cette consultation a eu lieu en plein été et sur deux semaines seulement.
D’une indigence choquante (18 pages seulement !), ce dossier mêlait informations datées, mensonges par omission et déclarations fausses. Ainsi, censée démontrer sa capacité technique, EDF mettait fièrement en avant un plan de recrutement mené entre 2008 et 2012 (!) ; mais elle faisait l’impasse sur les malfaçons répétées sur le chantier et sur le problème de perte de compétence - pourtant de notoriété publique - qui affecte toute la filière nucléaire. Le chapitre "Performances en matière de sûreté nucléaire" taisait bien sûr les multiples défauts du réacteur, qu’il s’agisse des soudures ou de la fragilité de sa cuve. Censée apporter la preuve de "l’efficacité énergétique de l’installation, comparée aux meilleures techniques disponibles à un coût économique acceptable", EDF esquivait toute comparaison de l’EPR avec les énergies renouvelables, qui aurait forcément été défavorable. En outre, elle le présentait abusivement comme une tête de série pour expliquer ses surcoûts. Elle omettait également de mentionner l’évaluation effectuée par la Cour des comptes en 2020 chiffrant la construction à 19,1 milliards d’euros.
Malgré ces omissions, par un arrêté du 30 août 2021, la ministre en charge de la transition énergétique a donné son feu vert à l’exploitation du réacteur. Si cette décision était politiquement prévisible, elle n’en reste pas moins inacceptable.
Aux côtés des associations Greenpeace France et le CRILAN, nous avons donc déposé un recours en annulation à l’encontre de cet arrêté.
[1] Article L. 311-5-6 du Code de l’énergie : Pour les installations de production d’électricité soumises au régime des installations nucléaires de base telles que l’EPR de Flamanville, la demande d’autorisation d’exploiter une installation de production d’électricité doit être déposée au plus tard dix-huit mois avant la date de mise en service de l’installation, et en tout état de cause au plus tard dix-huit mois avant l’expiration du délai dans lequel l’installation doit être mise en service prévu dans le décret d’autorisation de création de l’installation (fixé, pour l’EPR de Flamanville, à avril 2024 après avoir été prorogé deux fois)
Publié le 6 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
Publié le 6 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
Malgré la pandémie, plus de 5 700 lits d’hospitalisation complète ont été fermés en 2020 dans les établissements de santé français, rapportait une étude du ministère de la santé fin septembre. Dans un entretien publié dans Libération mercredi 27 octobre, le ministre de la santé, Olivier Véran, esquisse les raisons de ces fermetures massives : « Faute de soignants, faute surtout de pouvoir en recruter. »
Outre le manque de personnel, le ministre de la santé note une augmentation de l’absentéisme « d’un peu moins d’un point sur la même période pour les personnels non médicaux », ainsi que des démissions, mais « dans des proportions modérées ». Résultat : « Dans seize CHU (…) une hausse de près d’un tiers des postes vacants chez les paramédicaux par rapport à l’automne 2019. »
Les nouveaux recrutements ne suffisent pas à compenser les besoins. Entre 2018 et 2021, un peu plus d’un millier d’étudiants infirmiers en formation ont « démissionné avant la fin de leurs études ». « Une enquête sera lancée » pour qu’on « en comprenne les raisons ».
La Fédération hospitalière de France (FHF) avait fait état, le 20 octobre, d’« un taux d’absentéisme de l’ordre de 10 % » et de « 2 à 5 % de postes vacants de soignants » au sein des hôpitaux et des établissements médico-sociaux publics.
Et dans son avis du 5 octobre, le conseil scientifique faisait état d’« un pourcentage important de lits fermés, chiffré à environ 20 % » malgré un « recours déjà important et en augmentation aux heures supplémentaires et à l’intérim ». Ces données recueillies « auprès des grandes structures hospitalières du pays dans les plus grandes régions françaises » mettent également en lumière « un grand nombre d’emplois vacants, avec notamment cinq professions en tension » : infirmiers, infirmiers de bloc opératoire, infirmiers anesthésistes, manipulateurs de radiologie et masseurs-kinésithérapeutes.
Publié le 6 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
Un nouveau record battu ! Pour la première fois de son histoire, le CAC 40 a dépassé les 7 000 points, ce vendredi aux alentours de 9h12. La veille, la Bourse de Paris était déjà euphorique terminant sur un nouveau plus haut à la fermeture, à 6 987 points et détrônant un record vieux… de 21 ans. A Wall Street, les indices Nasdaq et S&P 500 ont également signé de nouveaux records, pour le cinquième jour consécutif. L’abondance de liquidités apportées aux marchés par les banques centrales a permis à la cote parisienne, comme d’autres places boursières, d’atteindre de tels sommets.
Dessin de Sié pour Urtikan.net
Publié le 5 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
Publié le 4 Novembre 2021 par Alternative Citoyenne de la Manche
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Interdiction de débarquement", contrôles douaniers accrus : la décision est tombée. La France a annoncé l'entrée en vigueur mardi prochain de premières mesures de rétorsion contre les îles anglo-normandes et Londres, qui les a jugées "décevantes" et "disproportionnées" par rapport au conflit qui les oppose sur le nombre de licences accordées aux pêcheurs français après le Brexit. Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a aussi évoqué une riposte graduelle, avec une possible "deuxième série de mesures", "notamment des mesures énergétiques qui ont trait à la fourniture d'électricité pour les îles anglo-normandes". Des sanctions ont été mises à exécution dès la nuit de mercredi à jeudi avec la verbalisation de deux navires britanniques dans la Manche. Le premier bateau a été verbalisé pour entrave aux contrôles et le deuxième parce qu'il ne figurait pas sur la liste des navires licenciés. Et dans les ports du nord de la France, ce soutien du gouvernement est accueilli positivement. "Quelque part c'est une satisfaction puisque certains attendent depuis neuf mois de pouvoir aller pêcher", explique Jean-Luc Hall, directeur du Comité national de pêche. "Les comptes sont dans le rouge et les entreprises proches du dépôt de bilan donc ça ne pouvait plus durer. Il fallait adopter une position de fermeté." Alors que Jean Castex a laissé la porte ouverte à de nouvelles discussions si la Grande-Bretagne respecte ses engagements, Annick Girardin a estimé de son côté que le Royaume-Uni "n'assume pas sa signature". "Nous sommes aujourd'hui 11 pays pêcheurs à pouvoir le dire à la Commission européenne", a-t-elle encore assuré. Du côté du Royaume-Uni, on avance le chiffre de 98% de licences accordées aux pêcheurs européens. Ce que dément la ministre. "Ce chiffre est faux. Ce n'est pas 98% mais 90,3%, soit 1.913 licences données sur 2.127 demandes. Et bizarrement, celles qui manquent sont celles des Français. Donc il y a une mauvaise volonté à travailler sur les dossiers français", a poursuivi la ministre, expliquant que le pays a pourtant des droits historiques sur ces eaux. "Régulièrement, le Royaume-Uni demande des critères supplémentaires, mais aujourd'hui nous disons stop et nous réclamons le droit |