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L'Alternative Citoyenne de la Manche s'inscrit dans une démarche politique nouvelle. Elle se fixe comme objectif de faire en sorte que la Gauche gagne et réussisse

Ciné Débat : jeudi 7 décembre, au Sélect, à Granville, à 20h30 : L'État hors-la-loi

Publié le 29 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

La section Coutances-Granville de la Ligue des droits de l'homme vous invite :
 
 
 
 
jeudi 7 décembre,
au Sélect, à Granville, à 20h30
Projection du film Avant que les flammes ne s'éteignent, de Mehdi Fikri, 1h34
suivie d'un débat avec Arié Alimi, avocat
Tarif : 5 euros
 
Le film : Suite à la mort de son petit frère lors d’une interpellation de police, Malika se lance dans un combat judiciaire afin qu’un procès ait lieu. Mais sa quête de vérité met en péril l’équilibre de sa famille. Avec Camélia Jordana.
Arié Alimi, avocat, dernier livre paru : L'État hors-la-loi : logiques des violences policières, éd. La Découverte
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Connaissez-vous les avantages du Green Friday, l'anti-Black Friday ?

Publié le 24 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

En réaction au « Black Friday », le « Green Friday » veut promouvoir une consommation responsable et éthique ce vendredi 24 novembre. À l'origine de cette initiative, le président de la Fédération Envie, Jean-Paul Raillard, veut montrer qu’il est possible de réparer des appareils plutôt que de les jeter.

Ce vendredi 24 novembre, une partie de l’argent dépensé dans les entreprises adhérentes est reversée à des associations militantes pour une consommation responsable.

Comment est né le collectif Green Friday ?

Jean-Philippe Raillard

Directeur du réseau Envie

Nous avons créé l’association Green Friday en 2017. L’objectif était de réunir plusieurs associations et entreprises pour valoriser le réemploi solidaire et la consommation durable. Parmi ces associations, nous comptons Emmaüs France, mais également les ressourceries d’Île-de-France.

Les entreprises qui adhèrent à Green Friday s’engagent à reverser 10 % du chiffre d’affaires du Black Friday à l’une des associations partenaires que compte le collectif. Cette année, les deux associations partenaires sont Halte à l’obsolescence programmée (HOP) et Zero Waste France, une association qui milite en faveur du zéro déchet. En 2022, l’opération Green Friday a permis de reverser 20 000 euros aux associations.

Quel est l’objectif ?

Avec Green Friday, nous voudrions faire comprendre aux gens qu’ils ne doivent pas se laisser berner par les sirènes du Black Friday. Nous ne sommes pas là pour faire la morale au consommateur, encore moins pour le culpabiliser. Nous cherchons avant tout à lui montrer qu’il existe des alternatives plus économiques et écologiques que l’achat neuf. On peut réparer un appareil défectueux.

S’il ne fonctionne plus, il est possible d’en faire don à une association qui pourra le rénover et le revendre. Acheter n’est pas un acte anodin. Nous souhaiterions que le consommateur réfléchisse bien avant de faire le choix d’acheter un nouvel objet. Au-delà de la problématique posée par leur empreinte environnementale, de nombreux produits électroménagers sont, en outre, fabriqués dans des conditions sociales désastreuses.

Selon un sondage que vous venez de publier, les Français sont plutôt favorables aux produits d’occasion. Quels sont les facteurs qui expliquent cet engouement ?

Les résultats du sondage OpinionWay, que nous avons commandé à cette occasion, montrent en effet que près de 9 Français sur 10 se déclarent prêts à acheter des produits d’occasion et d’électroménager reconditionnés. Mais on se rend également compte avec ce sondage que beaucoup de Français sont prêts à faire le Green Friday tout en continuant à acheter sous la bannière du Black Friday. Ils ne perçoivent pas l’ambivalence. Les résultats montrent que la surconsommation est une question de perception.

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sraël-Palestine: « Il y a quelque chose de brisé que les deux parties en conflit ont la charge de réparer ensemble»

Publié le 21 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

 

 

 

 

Israël-Palestine: « Il y a quelque chose de brisé que les deux parties en conflit ont la charge de réparer ensemble»

Tribune

Jean-Christophe Attias, historien et philosophe, directeur d’études à l’EPHE/Université PSLEsther Benbassa, ancienne sénatrice, directrice d’études émérite à l’EPHE/Université PSL, où elle enseigne l’histoire du judaïsme moderne.

Dans une tribune au «Monde», Esther Benbassa et Jean-Christophe Attias, spécialistes de l’histoire du judaïsme, soulignent la nécessité pour les Israéliens comme pour les Palestiniens de penser leur humanité commune. Ils y voient la condition pour réparer ce qui a été brisé et construire la paix.Publié le 17 novembre 2023 La radicalité de l’expression de certaines revendications, dans nos rues, sur nos réseaux sociaux, laisse pour le moins songeur. La brutalité et le simplisme des prises de position de trop de politiques, quel que soit le «camp» qu’ils prétendent soutenir, n’ont pas peu contribué à hystériser le débat. Et à encourager dérives islamophobes et antisémites dans certaines franges heureusement toujours minoritaires de notre société. Qui sont donc «les amis du soutien inconditionnel au massacre» qu’a évoqués Jean-Luc Mélenchon le 7novembre sur le réseau social X pour qualifier les participants à la marche contre l’antisémitisme de Paris?A quoi sert-il de les dénoncer, qui plus est sans les nommer? Que signifie, encore, «libérer la Palestine du fleuve à la mer», [un slogan utilisé depuis les années 1960dans les manifestations propalestiniennes]? S’agit-il de noyer Juifs et Arabes vivant entre Jourdain et Méditerranée dans un seul et même Etat palestinien laïc (en invisibilisant les premiers)? S’agit-il d’intégrer les Israéliens juifs à une structure étatique nouvelle, éventuellement fédérale et clairement binationale? Ou s’agit-il d’éradiquer purement et simplement l’État d’Israël et de chasser les habitants juifs du pays?

Refuser de tomber dans le piège de la déshumanisation.

Ces questions sont trop graves et méritent mieux que quelques slogans simplificateurs. D’autant que ceux dont il est question sont d’abord des hommes et des femmes, Palestiniens ou Israéliens, peu importe, des hommes et des femmes couverts de cicatrices invisibles – celles de la Shoah et des pogroms, celles de la Nakba –, des hommes et des femmes ayant une histoire, une mémoire, un visage et des liens, des gensvivants, souffrants et mortels. Exactement comme nous ici.De fait, le premier des pièges où nous devons refuser de tomber est celui de la déshumanisation. Si les atrocités commises par les troupes du Hamas nous ont sidérés et révoltés à ce point, si les troupes du Hamas ont pu les commettre, les mettre en scène, les filmer, en diffuser cyniquement les images, c’est que celles et ceux qui en ont été les victimes, civils, femmes, nourrissons, enfants, vieillards, n’étaient plus perçus par leurs assaillants comme des semblables, comme des humains.D’une autre façon, si la mort de milliers de civils palestiniens de Gaza bombardés par Israël peut être présentée froidement par certains comme un dommage collatéral regrettable, largement imputable à la stratégie du Hamas, et hélas inévitable voire nécessaire, ce n’est que parce qu’on invisibilise les visages, les souffrances, les vies, l’histoire – l’humanité – des civils que l’on sacrifie.

Faire la paix sera long et difficile.

Aucune souffrance ne doit être ignorée. Aucun crime ne doit être oublié. Tous doivent être jugés et châtiés. Reste que le premier devoir de qui veut sincèrement la justice et la paix est de reconnaître en l’autre, fût-il son ennemi, un semblable, un humain, un frère, une sœur. De l’islam et du judaïsme, dont les deux parties en présence font à peu près ce qu’elles veulent pour justifier leurs actes les plus odieux et leurs objectifs les plus fous (Palestine sans Juifs ou Grand Israël), nous pouvons au moins garder une idée, une seule: nous sommes tous fils et filles d’Adam – banû Adam, en arabe, benei Adam, en hébreu.Au Proche-Orient comme ailleurs, aujourd’hui plus que jamais, c’est cette évidence, qui n’a besoin d’aucune sanction divine, ni de l’approbation d’aucun clerc, imam, rabbin ou prêtre, c’est cette évidence à chaque instant niée et bafouée par des hommes des deux camps, qu’il convient de restaurer. Il n’y a pas d’«animaux humains» au Proche-Orient, comme l’a dit le ministre israélien de la défense. Ni d’êtres démoniaques. Juste des humains. Si criminels soient-ils parfois.On ne fera pas la paix avec le Hamas? Soit, on le comprend. On ne fera pas la paix avec M.Nétanyahou et sa clique? On le comprend aussi. Il faudra pourtant bien qu’Israéliens et Palestiniens, eux, fassent la paix. Ce sera long, ce sera difficile. Il y aura des avancées, de brusques reculs. On remettra cent fois l’ouvrage sur le métier. Mais il n’y aura en tout cas qu’un seul préalable à satisfaire: la conscience qu’il y a là quelque chose de brisé qu’il est à charge pour les deux parties en conflit de réparer ensemble. La «réparation du monde», dans le judaïsme, le tikoun ‘olam, est entre les mains des hommes, et d’eux seuls.

Le temps est venu de la réparation et de la modestie.

Or, toute réparation est bricolage. Aucune ne sera un retour au statu quo ante. Lequel, d’ailleurs? Celui du XIXe siècle? Celui du XVIe? Celui des temps bibliques? Cette réparation n’abolira pas la Nakba, elle n’en effacera pas la mémoire douloureuse, elle cherchera pratiquement, dans les faits, sur le terrain, à en atténuer les effets, à en panser les plaies. Elle n’effacera pas davantage le traumatisme des pogroms, de la Shoah. Elle ne ressuscitera pas les morts. Elle sera, avec la paix, le seul hommage véritablement digne que l’on pourra leur rendre. Et le seul vrai soulagement que l’on pourra apporter aux vivants.Il faudra renommer les lieux, repenser l’espace, le réorganiser, se le partager d’une manière inédite. Il faudra faire de même avec le pouvoir, les langues, les cultures. Il faudra permettre aux deux populations de s’inventer un destin qui leur soit à la fois propre (singulier), et commun (partagé). Il faudra, en un mot, inventer. Et ne jamais hésiter à reprendre sa copie. Tout en luttant contre les vieux réflexes de haine, de rancune et de défiance mutuelle.Quels leaders pour lancer un tel mouvement et pour entraîner derrière eux une majorité de leurs populations? Marwan Bargouti, du côté palestinien? Qui, du côté israélien? Nul ne le sait en cet instant. Il serait pourtant grand temps d’y songer. Le rêve aveugle d’un Theodor Herzl (1860-1904)a tourné au cauchemar. Pour les Palestiniens, bien sûr. Et pour les Juifs aussi. Le temps n’est plus au rêve. Le temps est venu de la réparation et de la modestie. Du lent et beau travail des jours. Il se fera là-bas. Nous y aiderons ici.

 

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Les voitures électriques assoiffent les pays du Sud

Publié le 21 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

13 novembre 2023
Les voitures électriques assoiffent les pays du Sud

Pour extraire des métaux destinés aux voitures électriques des pays les plus riches, il faut de l’eau. Au Maroc, au Chili, en Argentine… les mines engloutissent la ressource de pays souffrant déjà de la sécheresse.

Vous lisez la seconde partie de l’enquête « L’exploitation minière assèche les pays pauvres ». Retrouvez ici la première partie sur l’implication des constructeurs BMW et Renault dans ce scandale écologique.


• Cette enquête est diffusée en partenariat avec l’émission La Terre au carré, de Mathieu Vidard, sur France Inter.

© France Inter

 
Bou Azzer (Maroc), reportage

Batteries, moteurs… Les voitures électriques nécessitent des quantités de métaux considérables. Si rien n’est fait pour limiter leur nombre et leur poids, on estime qu’elles pourraient engloutir plusieurs dizaines de fois les quantités de cobalt, de lithium ou de graphite que l’on extrait aujourd’hui.

Démultiplier la production minière dans des proportions aussi vertigineuses a une conséquence directe : elle pompe des ressources en eau de plus en plus rares. Car produire des métaux exige beaucoup d’eau. Il en faut pour concentrer le métal, pour alimenter les usines d’hydrométallurgie, pour les procédés ultérieurs d’affinage ; il en faut aussi pour obtenir les solvants et les acides utilisés à chacun de ces stades, et encore pour simplement limiter l’envol de poussières dans les mines. Produire 1 kilogramme de cuivre peut nécessiter 130 à 270 litres d’eau, 1 kg de nickel 100 à 1 700 l, et 1 kg de lithium 2 000 l [1].

Selon une enquête de l’agence de notation étatsunienne Fitch Ratings, les investisseurs considèrent désormais les pénuries d’eau comme la principale menace pesant sur le secteur des mines et de la métallurgie. Elle estime que « les pressions sur la ressource, comme les pénuries d’eau localisées et les conflits d’usage, vont probablement augmenter dans les décennies à venir, mettant de plus en plus en difficulté la production de batteries et de technologies bas carbone ». Et pour cause : les deux tiers des mines industrielles sont aujourd’hui situées dans des régions menacées de sécheresse [2].

L’entreprise anglaise Anglo American, cinquième groupe minier au monde, admet que « 75 % de ses mines sont situées dans des zones à haut risque » du point de vue de la disponibilité en eau. La voiture électrique devait servir à lutter contre le réchauffement climatique. Le paradoxe est qu’elle nécessite de telles quantités de métaux que, dans bien des régions du monde, elle en aggrave les effets : la sécheresse et la pénurie d’eau.

 

Au Maroc, la mine de cobalt de Bou Azzer exploitée par la Managem, qui alimente la production de batteries de BMW et qui doit fournir Renault à partir de 2025, prélèverait chaque année l’équivalent de la consommation d’eau de 50 000 habitants. À quelques kilomètres du site se trouvent la mine de manganèse d’Imini et la mine de cuivre de Bleida, tout aussi voraces en eau, qui pourraient bientôt alimenter les batteries de Renault. Le groupe a en effet annoncé vouloir élargir son partenariat avec Managem « à l’approvisionnement de sulfate de manganèse et de cuivre ».

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Pirou : spectacle du 9 Décembre

Publié le 21 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

L'association "Musiques, Paroles, Images“ vous propose ”SOLILOQUE" un spectacle théâtral et musical de et par Nicolas Beillet le Béhérec. (voir l'affiche et la présentation en pièce jointe)

Samedi 9 Décembre 18h salle Guillon à Pirou Pont . Notez bien l'horaire :18h!

Faites le savoir et venez nombreux!

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Actions du Comité Manche Droits des Femmes la semaine prochaine

Publié le 16 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 
 
La semaine prochaine, beaucoup d'actions du Comité à ne pas rater !!
Nous espérons vous voir le plus souvent possible:
 

Et pour vous donner envie de nous rejoindre dès lundi 20, un très bel article dans Ouest France sur Daniela et sa conférence gesticulée sur les violences gynécologiques et obstétricales:

 

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Le 18 novembre 2023 mobilisation pour un cessez-le-feu à Gaza MAIRIE AVRANCHES 10H30

Publié le 15 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

Union Locale CGT d'Avranches
2 rue Boudrie
50300 Avranches
tél: 02 33 58 33 30
mail: ulcgtavranches@orange.fr
permanences les samedis et lundis de 10h à 12h

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Rassemblement le 15 novembre à Coutances

Publié le 13 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

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Israël-Palestine

Publié le 9 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 
 

Halte au massacre à Gaza, la France doit exiger un cessez-le-feu immédiat

RASSEMBLEMENTS 10 NOVEMBRE à 18 H00

SAINT LÔ DEVANT LA PREFECTURE

CHERBOURG DEVANT LA SOUS PREFECTURE

 

 Des crimes de masse, visant essentiellement des populations civiles, ont été commis les 7 et 8 octobre par des milices armées du Hamas dans de très nombreuses localités israéliennes. Ces actes de terrorisme nient toute idée d’humanité et nous révulsent.

Le gouvernement israélien a choisi de riposter en mobilisant une énorme capacité de destruction et de mort.
L’armée israélienne soumet la bande de Gaza à des bombardements d’une violence inouïe et à un blocus total. Près de la moitié des habitations ont été détruites. Les hôpitaux, les écoles, les ambulances sont visés. Les habitants sont privés d’eau, d’électricité, de carburant, de nourriture, de médicaments. Un véritable effondrement humanitaire est en cours. Des milliers de femmes, d’hommes, d’enfants (plus du tiers des victimes) périssent sous les bombes. C’est un massacre de masse. Ce sont des crimes de guerre.

En Cisjordanie occupée, la population palestinienne est soumise à la violence redoublée de l’armée et des colons ainsi qu’à un bouclage du territoire.

Comme l’a rappelé le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres : « aucune partie à un conflit armé ne peut se considérer au-dessus du droit international », qui est le même pour toutes et tous, à commencer par le droit international humanitaire.

Il est urgent d’agir. La résolution de l’ONU appelant à une trêve humanitaire votée par la France, est un point d’appui. La France doit maintenant concrétiser son vote en faisant pression sur le gouvernement de l’État d’Israël pour que la résolution soit mise en application, et rejouer un rôle diplomatique qu’elle avait renoncé à assumer.

Nous exigeons immédiatement :

· Un cessez-le-feu avec la fin des bombardements et du déplacement forcé de la population ainsi que le retrait de l’armée israélienne de Gaza.

· La libération des otages                        

· La mise en place de corridors humanitaires pour acheminer les produits de première nécessité.

· La protection de toutes les personnes civiles quelle que soit leur nationalité.

· La levée du blocus de Gaza en place depuis 2007.

· La fin de la politique de colonisation en Cisjordanie et Jérusalem-est.

· La reconnaissance de l’État de Palestine par la France sur la base des frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale, aux côtés de l’État israélien, pour que les deux peuples réconciliés vivent en paix et en sécurité.

· L’application de la résolution n° 242 du Conseil de sécurité des Nations unies de 1967, exigeant le retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés, pour une paix juste et durable !

 

SIGNATAIRES :

AFPS (Association France Palestine Solidarité), Amnesty International, CGT, CMDDF (Comité Manche Droits des Femmes), Coopérative Citoyenne, FSU, Génération.s, GRS, LDH, Les Écologistes (EELV), LFI, La Libre Pensée, MJCF (Mouvement des Jeunes Communistes de France), Mouvement de la Paix, MRAP, NPA St Lô, PCF, PS, Solidaires, Vert-Jaune-Rouge.

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Le Ministère de la Trahison écologique

Publié le 8 Novembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 
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