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L'Alternative Citoyenne de la Manche s'inscrit dans une démarche politique nouvelle. Elle se fixe comme objectif de faire en sorte que la Gauche gagne et réussisse

Rassemblement pour une paix durable en Palestine Samedi 14h30 St Lô

Publié le 28 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 
 
Pendant ces fêtes, vous pensez aux enfants de Gaza qui sont en train de mourir sous les bombes: vous pouvez consacrer une  petite heure de ce deuxième Week end de fête pour montrer votre solidarité et demander à l’État français de condamner avec fermeté le massacre des populations palestiniennes à Gaza et en Cisjordanie!

 

 
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Loi "immigration" - Appel à manifestation - Granville samedi 14h30

Publié le 23 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

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Loi sur la préférence nationale

Publié le 23 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

En poussant sa majorité à voter un projet de loi immigration empruntant à l’idéologie de l’extrême droite, Emmanuel Macron a offert une victoire politique à Marine Le Pen, en particulier sur la question de la préférence nationale.

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Communiqué de presse envoyé à la presse ce mercredi 20 décembre suite au vote de la loi immigration.

Publié le 20 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

La République universelle martyrisée
 
 
À la veille de la commémoration du 80e anniversaire du Débarquement et l'ultime combat contre le nazisme, la Macronie a achevé la République universelle en inscrivant dans la loi le principe de préférence nationale.
 
Ce sont bien ces principes de la République sociale et universelle issus de la Libération qui ont été bafoués ce mardi 19 décembre par les votes des groupes Renaissance, Les Républicains et Rassemblement national au Sénat et à l'Assemblée nationale.
 
Pire, cette attaque contre nos principes républicains a été négociée dans le huis-clos de la commission mixte paritaire à l'issue de laquelle Marine Le Pen a pu proclamer la victoire idéologique du Rassemblement national. 
 
Cette loi attaque également la République au cœur de nos territoires. Les droits sociaux refusés aux étrangers par l'application du principe de préférence nationale comme celui de l'accès à un hébergement d'urgence ou l'allocation personnalisée d'autonomie remettent en cause le travail de dizaines d'élu-e-s et d'associations qui œuvrent au quotidien pour la cohésion de nos territoires. Que ce soit à Cherbourg en Cotentin, Coutances, Granville, Avranches ou encore Saint-Lô. 
 
Cette loi fait également peser une lourde menace sur la vitalité et le développement de nos centres universitaires. Le système de caution imposé aux étudiants étrangers va mettre en péril la formation de dizaines d'entre eux dans les IUT de Saint-Lô et Cherbourg ou bien sur les sites D'INTECHMER et de L'ESIX dans le Cotentin.
 
Le PCF Manche avec ses militant-e-s et élu-e-s refusent d'accepter cette situation. Si cette loi devait être promulguée le président de la République et validée par le conseil constitutionnel, nous engagerons le travail avec tous les acteurs Institutionnels, associatifs, économiques et politiques de notre département pour que ce principe inique de préférence nationale reste lettre morte et ne devienne jamais une réalité, à l'image de ce qu'a déjà annoncé le département du Lot.
 
 

Bertrand Hulin
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A Gaza, le ciblage meurtrier des hôpitaux

Publié le 20 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

A Gaza, le ciblage meurtrier des hôpitaux

L’armée israélienne investit les établissements les uns après les autres, au prix de gros dégâts humains et matériels. Selon l’OMS, au moins huit patients sont morts dans l’hôpital Kamal-Adwan, dans le nord du territoire palestinien.

Par Clothilde Mraffko (Jérusalem, correspondance)

Les décombres de l’hôpital Kamal-Adwan, après des frappes israéliennes, à Beit Lahya, dans la bande de Gaza, le 16 décembre 2023. MAHMOUD SABBAH / ANADOLU VIA AFP

Le parvis de l’hôpital Kamal-Adwan, à Beit Lahya, dans le nord de la bande de Gaza, n’estplus qu’un labour informe, un champ de ruines où se mêlent détritus, restes de tentes, parpaings et fers à béton. Samedi 16décembre, après le retrait de l’armée israélienne, le reporter de la chaîne qatarie Al-Jazira, Anas Al-Sharif, a filmé des Palestiniens y errant, à la recherche des dépouilles de leurs proches. «Je ne sais comment vous décrire cette scène. Des corps par dizaines! Les bulldozers leur sont passés dessus et sont partis», s’exclame le journaliste en promenant son objectif sur des monticules de terre beige, d’où émergent des morceaux de cadavre. Un peu plus loin, un homme pleure. Il est venu chercher son fils blessé qui s’était réfugié dans cet hôpital et il ne le trouve pas.

Un autre Palestinien désigne la pharmacie entièrement détruite et les bureaux de l’administration de l’hôpital qui ne tiennent plus debout. «Les bulldozers ont enterré vivants les déplacés et les malades»,affirme-t-il devant la caméra. Le Monde n’a pas pu vérifier ces affirmations de manière indépendante. Gaza est toujours assiégée et coupée du monde, les journalistes étrangers ne peuvent y accéder. Mais le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA) a relayé les accusations du reporter d’Al-Jazira dans son rapport du samedi 16décembre. «Selon des premiers comptes rendus dans les médias et des enregistrements vidéo, un bulldozer de l’armée israélienne a écrasé les tentes d’un certain nombre de déplacés qui étaient à l’extérieur de l’hôpital, tuant et blessant un nombre non confirmé de personnes»,écrit l’agence des Nations unies.

«Je crois qu’il y avait des cris. Nous ne sommes pas sûrs, car nous n’étions pas autorisés à regarder. Tous ceux qui bougeaient se faisaient tirer dessus», a précisé de son côté le docteur Hossam Abu Safiya, de la direction médicale de l’établissement, lors d’une conférence de presse à l’extérieur de l’hôpital, interrompue par les tirs nourris des snipers, lundi.

L’assaut des soldats israéliens sur l’hôpital, justifié par l’état-major, par la nécessité d’y traquer des membres du Hamas, a débuté le 12décembre et a duré quatre jours. Il a été précédé d’une semaine de siège et de bombardements. L’établissement est le seul qui desservait encore la pointe nord de la bande de Gaza. Le directeur de l’hôpital, Ahmed Al-Kahlout, a été arrêté avec des dizaines d’autres hommes. Selon le docteur Abu Safiya, certains membres du personnel ont été frappés et se sont fait tirer dessus. «Cinq d’entre eux ont été blessés», a rapporté le médecin.

«Les rats sont rentrés»

Les soldats israéliens ont d’abord appelé «les familles de déplacés et les malades âgés de 16 à 65ans à sortir de l’hôpital,a raconté l’un des médecins, Ahmed Al-Khalot,à la caméra de l’agence de presse Reuters. Le jour d’après, ils ont commencé à fouiller l’hôpital. Ils ont emmené les membres des équipes médicales et les blessés, un par un, pour les interroger». Désignant un point à l’extérieur de l’hôpital, il ajoute: «Il y avait six corps là, et un patient de 60ans était décédé, en haut. Ils les ont pris, je ne sais pas ce qu’ils en ont fait.»

Une autre soignante, Wafa Al-Bus, a montré à Al-Jazira des patients allongés sur le sol, entassés dans les salles de l’hôpital dévasté. En plus des tirs, les médicaments, la nourriture et l’eau ont commencé à manquer, explique-t-elle. Selon deux employés de l’hôpital, les soldats israéliens ont lâché des chiens sur les patients et le personnel. «Les rats sont rentrés, on sentait l’odeur des corps en décomposition... Tout cela nous a beaucoup affectés, des blessés mouraient devant nous et nous ne pouvions leur apporter les soins nécessaires, voire les atteindre!», regrette Wafa Al-Bus.

L’hôpital est aujourd’hui hors service. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’au moins huit patients dont une fillette de 9ans y sont morts. «De nombreux personnels de santé ont été arrêtés, et l’OMS et ses partenaires cherchent de toute urgence des informations sur leur statut», écrivait, dimanche, le directeur général de l’organisation, le docteur Tedros Adhanom Ghebreyesus, sur le réseau social X. Selon lui, les patients ont dû évacuer seuls, les ambulances ne parvenant pas à atteindre l’établissement.

L’armée israélienne affirme avoir trouvé des armes et des munitions à l’intérieur de l’hôpital et avoir arrêté 90 personnes. Elle a publié une vidéo montrant de jeunes Gazaouis, torse nu, déposer un à un des armes de poing à terre. Le docteur Hossam Abu Safiya affirme avoir vu les militaires donner aux déplacés des armes légères, avant de les filmer puis de les relâcher. Israël a aussi diffusé un interrogatoire filmé du directeur de l’hôpital Kamal-Adwan. Ahmed Al-Kahlout y affirme être membre du Hamas, tout comme une quinzaine de membres du personnel, et explique que des dizaines de responsables politiques et militaires du mouvement se sont cachés dans son établissement. Il laisse entendre qu’un soldat israélien, capturé par le Hamas, a été transféré à un moment dans l’une des salles.

Des soignants tués dans des explosions

La guerre à Gaza, lancée en représailles à l’attaque du Hamas en Israël qui a tué 1140personnes le 7octobre, a fait plus de 19500morts, selon le ministère de la santé local – sans compter les milliers de corps toujours sous les décombres. Les hôpitaux, qui bénéficient d’une protection renforcée en droit international, sont pris pour cible. L’Etat hébreu affirme y traquer le Hamas. L’armée y cherche aussi des informations sur les otages encore retenus à Gaza. Les destructions et l’impact sur les populations civiles sont disproportionnés au regard des résultats affichés par les militaires.

Dimanche, au lendemain du retrait des troupes Israéliennes de l’hôpital Kamal-Adwan, l’armée a pris le contrôle de l’hôpital Al-Awda, le seul encore en fonction dans le nord de la ville de Gaza, après douze jours de siège. Là encore, rapportait l’ONG Médecins sans frontières (MSF), qui a des équipes sur place, «les hommes de plus de 16ans ont été sortis de l’hôpital, déshabillés, attachés et interrogés – six des membres de MSF étaient parmi eux». Des dizaines de patients dont quatorze enfants sont encore à l’intérieur, écrivait l’ONG dans un communiqué publié mardi. Le directeur de l’hôpital, le docteur Ahmed Muhanna, a été arrêté. L’établissement avait déjà été attaqué à plusieurs reprises.Des soignants ont été tués dans des explosions et une partie de l’hôpital est endommagée, notait MSF.

Dimanche et lundi, selon l’OCHA, au moins cinquante-sept Palestiniens ont été tués dans ou aux abords d’Al-Shifa, le plus grand complexe hospitalier de Gaza, dont les services ont été réduits au strict minimum depuis qu’il a été attaqué par l’armée israélienne mi-novembre. Une fillette de 12ans a été tuée dimanche et deux autres enfants ont été blessés dans une attaque sur l’hôpital Al-Nasser, à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. Mardi, l’hôpital Al-Ahli, dans la ville de Gaza, a cessé de fonctionner. L’armée avait assiégé l’établissement la veille au soir et arrêté plusieurs médecins, infirmiers et blessés. En tout, selon l’ONU, moins d’un tiers des hôpitaux de la bande de Gaza sont partiellement opérationnels.

A la violence et la fréquence des assauts, s’ajoute la difficulté de les documenter. L’armée israélienne a divisé l’enclave en plusieurs zones, isolées les unes des autres. L’attaque contre l’hôpital Kamal-Adwan a eu lieu alors que les communications étaient coupées. Les organisations de défense des droits humains sont incapables d’effectuer leur travail de terrain sous les bombes. «Beaucoup de gens nous expliquent comment ils ont été empêchés de rejoindre des zones de secours ou des hôpitaux pour faire soigner les membres de leur famille blessés,a rapporté Cyril Blin, directeur des opérations de la Fédération internationale pour les droits humains, lors d’une conférence de presse, tenue lundi à Paris. Nos collègues avancent au jour le jour, en documentant, en récupérant les témoignages et les preuves matérielles. Mais c’est encore très parcellaire.»

Clothilde Mraffko(Jérusalem, correspondance)

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Honte à eux ! Ils ont voter la loi sur l'immigration.....

Publié le 20 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

Le retour à la préférence nationale
Loi immigration : ce que contient l'accord négocié entre les macronistes et LR, voté par le RN

La fin de l’universalité du droit aux allocations familiales

La déchéance de nationalité élargie

La remises en cause du droit du sol

Les restrictions de l’accès au séjour

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Pêche industrielle : Les lobbies ont gagné

Publié le 19 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

Les lobbies ont gagné

Oui, le temps d’une manche, les lobbies de la pêche industrielle ont gagné. 

Les temps leur sont particulièrement favorables, on ne va pas se raconter d’histoires, mais ce gouvernement est loin d’être le premier à obéir fidèlement au diktat des lobbies industriels, notamment bretons. La différence aujourd’hui, c’est qu’on est justement en 2023 et que la société tout entière parle de transition, mais la pêche industrielle a réussi à obtenir un passe-droit de l’Élysée lui évitant de remettre en cause ses pratiques destructrices. Deux jours avant le début de la COP28, c’est ce qu’Emmanuel Macron a confirmé à un parterre d’industriels exultant de joie.

Le 28 novembre, c’était Noël avant l’heure pour les partisans des pêches destructrices : alors que le soir, le secrétaire d’État à la mer Hervé Berville protégeait les chalutiers géants en mentant en toute impunité sur les plateaux de télévision, le Président de la République en personne s’adressait l’après-midi même à Nantes aux ardents défenseurs du chalut et de l’économie maritime extractive. 

Dans un discours-fleuve de plus d’une heure aux « Assises de l’économie de la mer », Emmanuel Macron a tenu aux industriels et aux élus le discours de leurs rêves. En substance, il leur a garanti que rien ne changerait jamais, que la recette du désastre pourrait se poursuivre ad vitam aeternam, que les aides au gasoil continueraient à pleuvoir, que le secteur de la pêche industrielle n’aurait jamais à se remettre en question et que la « transition » ne serait ni écologique, ni sociale. 

En somme, le chef de l’État a assuré qu’il n’était nul besoin de remettre en cause le modèle industriel dès lors que celui-ci résumait sa « transition » à la seule décarbonation.  Le discours d’Emmanuel Macron était surréaliste. Chez BLOOM, on a dû se pincer pour y croire.

Aucune mention de la mauvaise santé des écosystèmes marins, de l’extinction de masse des espèces vivantes, de l’impact à proprement parler délirant des pêches industrielles sur la biodiversité (les chaluts sont responsables à 93% de l’ensemble des animaux rejetés morts à la mer par les navires de pêche chaque année en Europe), de la nécessité de restaurer les habitats, de laisser repousser les forêts sous-marines composées de coraux, d’algues corallifères, d’éponges et d’organismes calcaires menacés par l’acidification et le labour des chaluts. 

Aucune mention, cela va sans dire, de la resuspension du carbone stocké dans les sédiments marins par le passage constant des bulldozers sous-marins que sont les chalutiers ni de l’absolue, incontournable, urgentissime nécessité de maintenir les fonctions de régulateur climatique de l’océan. 

Je soutiens BLOOM jusqu'à la victoire contre les industriels

De justice sociale aussi, nulle mention. Même si en pulvérisant les écosystèmes marins, les pêches industrielles conduisent inévitablement à la ruine sociale et économique.

Il faut avoir à l’esprit l’histoire récente pour prendre la mesure du modèle que le pouvoir défend : après avoir anéanti les populations de poissons proches des côtes, les chalutiers industriels sont allés plus au large. Ayant fait péricliter les poissons au large, ils sont allés les chercher dans les eaux distantes d’Afrique. Simultanément, ils ont aussi « enfoncé » leurs filets jusqu’à 2000 mètres de profondeur. Ils ont massacré des écosystèmes de coraux d’eau froide aussi vieux que les pyramides d’Égypte et des animaux profonds à la longévité extrême qui avaient jusque-là toujours été épargnés par les filets géants des chalutiers. Ils ont pillé les ressources des pêches vivrières du continent africain et mis en péril des pans indispensables de la sécurité alimentaire du Sud. 

Les pêches industrielles reposent sur une surexploitation séquentielle : la logique financière qui préside à leur modèle impose d’aller chercher toujours plus loin, plus profond, de nouvelles espèces à commercialiser, peu importe le chaos social, peu importe la destruction de masse du vivant et la déforestation sous-marine à grande échelle. 

La pêche industrielle est irresponsable, vorace et immorale. Osons le mot. 

Voyez ce que le port de Lorient s’apprête à faire pour comprendre que le drame ne prendra fin qu’avec la disparition de la pêche industrielle. 

Lorient, premier port industriel de France, premier responsable de la ruine des pêcheurs artisans français et du siphonnage des eaux de l’Atlantique Nord-Est, est en train d’investir au Sultanat d’Oman dans la construction d’un port immense pour piller les eaux encore intactes de la Mer d’Arabie et importer à terme du poisson… par avion ! 

Voilà le modèle ahurissant que soutient notre gouvernement.

Le 10 décembre 2013, il y a exactement dix ans, lors d’un vote cataclysmique à Bruxelles, le Parlement européen se prononçait en faveur de la destruction des océans profonds. Toutes les magouilles avaient été déployées contre la mobilisation citoyenne et scientifique orchestrée par BLOOM en vue d’interdire le chalutage en eaux profondes. L’ordre de vote avait été changé à la dernière minute, certains députés s’étaient sincèrement trompés, d’autres avaient fait semblant de se tromper pour être fidèles aux lobbies… 

Après quatre ans de campagne contre l’aberration du chalutage en eaux profondes, nous perdions le vote à neuf voix près. C’était un coup terrible.

On aurait pu s’avouer vaincus. C’était très mal engagé, les lobbies avaient rallié à leur cause les États membres et le Parlement européen, l’horizon était bouché. Mais ce n’était pas juste. Ce n’était pas acceptable. Si nous jetions l’éponge, alors qui allait défendre les écosystèmes profonds ? Qui allait dénoncer ce modèle de ravages et de ruines de la pêche industrielle ? Qui se battrait pour l’intégrité physique et biologique de l’océan face au changement climatique et à la disparition des espèces ? 

La raison disait « c’est impossible à gagner ». Le cœur disait « plutôt mourir que d’abandonner ». 

Nous avons poursuivi le combat. Avec vous à nos côtés. Vous avez mis une telle pression à Intermarché, dont les flottes étaient les acteurs dominants de la pêche profonde, que nous avons fini par gagner. Il a fallu trois ans de plus, mais en juillet 2016, le chalutage en eaux profondes était interdit dans toutes les eaux de l’Union européenne. 

Voilà ce que nous devons recommencer.  Gagner coûte que coûte.

C’est notre persévérance à toute épreuve et votre mobilisation indéfectible à nos côtés qui peuvent et qui DOIVENT façonner le monde pour nous protéger des dégâts irréparables causés par une poignée d’individus et de corporations sans foi ni loi. 

Soutenez-nous et faites grossir notre communauté déterminée en partageant ce mail. 

Je soutiens BLOOM contre les lobbies industriels jusqu'à la victoire

Merci. 

Pour tout. 

L'équipe de BLOOM     

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La Française des jeux dépasse les bornes, le 49.3 est sorti 21 fois

Publié le 16 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

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Éducation : derrière la baisse du niveau des élèves, l'échec de l'école selon Macron

Publié le 10 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

On ignore si Jean-Michel Blanquer a suivi, mardi 5 décembre, la publication par l’OCDE des résultats de l’enquête Pisa (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) 2022. Mais on est à peu près certain que, pendant le discours du secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques, Mathias Cormann, les oreilles de l’ancien ministre de l’Éducation nationale, chantre de la « continuité pédagogique » et de « l’école ouverte » pendant la pandémie de Covid, ont dû siffler copieusement.

Car, si on voulait résumer en deux points les enseignements de l’enquête internationale, ce serait les suivants : les résultats sont catastrophiques partout, le Covid en est la raison principale mais pas unique ; et c’est encore pire en France, où on nous assurait pourtant que les mesures prises permettraient aux élèves français de s’en sortir mieux que les autres.

Des résultats « parmi les plus bas jamais mesurés »

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Deux projections débats et un communiqué du collectif train

Publié le 7 Décembre 2023 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

 

Communiqué du collectif de défense des axes ferroviaires du Sud Manche sur la décision de la Région de mettre plusieurs tronçons en voie unique sur l’axe Paris-Granville. Solution qui interdirait le développement de nouveaux trains de voyageurs:
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