Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

L'Alternative Citoyenne de la Manche s'inscrit dans une démarche politique nouvelle. Elle se fixe comme objectif de faire en sorte que la Gauche gagne et réussisse

La loi immigration promulguée par Emmanuel Macron après les censures du Conseil constitutionnel

Publié le 28 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

commentaires

Projection Débat du Documentaire "La Combattante" à Carolles, mercredi 24 janvier 20h30

Publié le 23 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

Itinerance sud manche , la section de la lDH d'avranches  et cine parlant vous  invitent à une projection à Carolles  salle François Simon,
45, Rue Division Division Leclerc Carolles 50740
le mercredi 24 janvier à 20H 30 du film
LA COMBATTANTE
de Camille Ponsin
Une vie de savoirs au service des autres (1h30)
 
 
Dans son appartement sous les toits de Paris , au milieu de dossiers et de journaux , une toute petite dame de 90 ans, ethnologue à la retraite, et spécialiste du Soudan et du Tchad, et particulièrement de  la région  du Darfour, 

accueille depuis une dizaine d'années pour des entretiens approfondis des réfugiés ayant survécu au génocide du Darfour, dont l'OFPRRA a rejeté la demande d'asile et qui souhaitent présenter un recours aupres de la cour Nationale du Droit d'asile ( lire note de soutien de la LDH)

  

Projection suivie d'un débat sur le droit d'asile avec des intervenants de la commission juridique d'ISM

et du groupe de travail "étranger " de la LDH

Avec des témoignages de réfugiés ayant été auditionnés devant la Cour  Nationale du droit d'asile

commentaires

Publié le 23 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

 
 
 

 

 

 
 
Faites connaître notre action, transférez nos informations
 et notre adresse mail à vos réseaux:
visitez et faites visiter notre page Facebook ICI
Pour nous aider, adhérez : 10 euros par an 
envoyez-nous un mail ou adhérez directement sur helloasso
commentaires

Parcoursup : le fils d’Amélie Oudéa-Castéra a bénéficié d’un système de contournement pour intégrer Stanisla

Publié le 22 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

 

 

 

 

Selon Mediapart, le lycée Stanislas a reçu un rappel à l’ordre du ministère de l’Enseignement supérieur concernant ses pratiques de contournement de la plateforme Parcoursup, censée organiser de la façon la plus juste et transparente possible la « concurrence » entre lycéens pour les formations post-bac. Parmi les 41 contournements détectés par l’Inspection générale au printemps dernier, 38 émaneraient de l’établissement catholique privé. Le fils de la ministre de l’Éducation nationale compterait parmi eux.

Contournement de Parcoursup

À chaque jour son lot de révélations édifiantes sur le système Stanislas, mis en lumière par les justifications hors sol de la nouvelle ministre de l’Éducation nationale qui y a scolarisé ses enfants. Alors que, chaque année, près de 600 000 lycéens (du public comme du privé) sont tenus de se plier, la boule au ventre, à la procédure Parcoursup, qui impose de formuler une dizaine de vœux, sans certitude d’en obtenir un seul, Mediapart nous apprend que le fils aîné dAmélie Oudéa-Castéra, 17 ans et en classes préparatoires à Stanislas, a pu contourner ce passage obligé grâce à une petite cuisine interne à l’établissement.

Dans un courrier consulté par le site d’informations en ligne, le ministère de l’Enseignement supérieur a ainsi rappelé à l’ordre le lycée Stanislas pour ses procédés visant à contourner le système, au mépris de ” l’égalité des chances “ censée prévaloir. Le ministère, se basant sur des conclusions de l’inspection générale, qui a mené des investigations sur le lycée après plusieurs enquêtes journalistiques l’an dernier, a pointé des pratiques « contraires aux principes et aux règles » de Parcoursup, qui « visent à garantir la liberté d’accès, la transparence, la non-discrimination, l’égalité de traitement et l’équité de la procédure ».

Une place au chaud

Comment ce contournement se traduit-il ? Le tour de passe-passe consiste en une forme d’arrangement entre l’établissement et certains de ses élèves de terminale formulant le souhait d’intégrer ses prestigieuses classes préparatoires. Ces derniers sont ainsi invités à n’inscrire qu’un seul vœu sur la plateforme, gage pour qu’une place au chaud leur soit par la suite assurée, alors même que l’Éducation nationale recommande aux lycéens de multiplier les établissements.

Voir le site

commentaires

Dans la Manche, les rassemblements et les actions contre la loi Immigration

Publié le 17 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

 

 

 visitez notre page facebook en cliquant ici
 visitez le site de la LDH en cliquant ici
 adhérez en cliquant ici
commentaires

Il n’y a pas d’argent magique, disent-ils…

Publié le 15 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

Il n’y a pas d’argent magique, disent-ils…
commentaires

Nouveau gouvernement : Changer pour que rien ne change !

Publié le 15 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

 

La nomination de Rachida Dati à la Culture, Bruno Le Maire (Économie), Gérald Darmanin (Intérieur), Marc Fesneau (Agriculture), Sébastien Lecornu (Armées), Éric Dupond-Moretti (Justice) ou encore Christophe Béchu (Transition écologique) ont été reconduits à leur poste, tandis que Catherine Vautrin (Travail, Santé, Solidarités) et Stéphane Séjourné (Affaires étrangères) font leur entrée au gouvernement et qu'Amélie Oudéa-Castéra hérite d'un grand ministère (Éducation et Sports).

commentaires

Remaniement gouvernemental : Gabriel Attal méprise les services publics

Publié le 13 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

Après ATTAL Ministre de l’Éducation qui n’a jamais mis un pied à l’école publique, la nouvelle Ministre de l’Éducation qui met ses enfants dans une école privée religieuse intégriste !

La charge de la ministre de l’éducation contre le public passe mal !

Interrogée par Mediapart sur son choix de l’établissement privé catholique Stanislas pour ses enfants, Amélie Oudéa-Castéra a invoqué le « paquet d’heures non remplacées » dans le public et son souci de « l’exigence ». Les syndicats enseignants et plusieurs politiques s’indignent.

lire sur Médiapart.fr

et pire encore

Logement, fonction publique, Éducation nationale, Travail, Santé… Autant de ministères incontournables sur des chantiers en crise qui ont été mis sur la touche, ont perdu leur autonomie, ou ont tout simplement disparu, après le remaniement gouvernemental opéré hier, sous la houlette de Gabriel Attal. Des décisions aux conséquences désastreuses qui témoignent « d’un mépris pour le service public », selon la gauche et les syndicats.

Lire sur l'Humanité.fr

commentaires

Le témoignage d’une médecin rentrée de Gaza: «J’ai dû m’occuper d’un bébé au bras et à la jambe arrachés, à même le sol»

Publié le 10 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

Docteure en pédiatrie, Seema Jilani, membre de l’International Rescue Committee (IRC) et de MAP (Medical Aid for Palestinians), a exercé entre fin décembre 2023 et début janvier à l’hôpital Al-Aqsa de Gaza.

Propos recueillis par Madjid Zerrouky

Publié le 10 janvier 2024 par Le Monde

Seema Jilani, docteure en pédiatrie, à l’hôpital Al-Aqsa de Gaza, le 4 janvier 2024. INTERNATIONAL RESCUE COMMITTEE

L’hôpital Al-Aqsa est le seul encore fonctionnel dans la partie centrale de la bande de Gaza. La pédiatre américaine Seema Jilani y a officié pendant deux semaines, pour le compte de l’International Rescue Committee (IRC). L’ONG a retiré son personnel de l’établissement durant le week-end, en raison de l’intensification des attaques israéliennes à proximité.

Pourquoi avez-vous dû évacuer la bande de Gaza?

J’ai dû quitter la bande de Gaza le 9janvier parce qu’à cause des bombardements israéliens dans les environs immédiats de l’hôpital Al-Aqsa nous n’étions plus en mesure d’y exercer notre mission. Al-Aqsa représente la dernière ligne de vie pour la population de ce secteur, avec des services portés à bout de bras par des médecins et des infirmiers travaillant dans des conditions terribles. L’hôpital lui-même a été la cible de tirs. Depuis le service de pédiatrie, où je travaillais, je pouvais voir par les fenêtres les nuages de fumée provoqués par les raids aériens et les bombardements. Les échos des explosions et des coups de feu sont malheureusement devenus notre quotidien. C’est comme une normalité qui s’est installée. Mais les tirs se rapprochaient de l’hôpital. Chaque jour, la tension augmentait autour de nous.

Quelle est la situation dans l’hôpital?

Al-Aqsa, en plus d’être un établissement médical, est un lieu abritant des milliers d’habitants qui y ont trouvé refuge en fuyant les bombardements. Une vague humaine l’a envahi. Les gens recherchent un lieu sûr, où ils ne sont pas tués ou blessés. Mais un tel sanctuaire n’existe tout simplement pas dans la bande de Gaza. Les services de l’hôpital d’Al-Aqsa sont encombrés par les familles de réfugiés des quartiers environnants, les familles des personnels médicaux... Le système de santé gazaoui n’est tout simplement pas calibré ni prêt à faire face à une telle catastrophe.Même si j’ai l’expérience des zones de guerre, je n’avais jamais pensé me retrouver confrontée à cela. En temps de guerre, vous avez généralement affaire à un certain type de victimes, principalement des jeunes hommes. A Gaza, quatre de mes patients sur cinq étaient des enfants, blessés ou mourants. Nous ne sommes même pas en mesure de dresser un bilan. Nous avons été submergés par le nombre de ces victimes, amenées par leurs familles, transportés sur des charrettes, tirées par des ânes. Seuls les plus «chanceux» arrivent à bord d’ambulances.

Comment arriviez-vous à soigner ces blessés alors que le système de santé de la bande de Gaza est décrit comme proche du point de rupture?

L’un de mes premiers patients était un nourrisson âgé de 1 an dont la jambe et le bras droit avaient été arrachés par une explosion. J’ai dû prendre en charge ce bébé à même le sol, car il n’y avait plus de chambre, plus de lit, plus de box disponibles du fait de l’afflux de blessés. Quand sa mère a vu ce bébé, sans sa jambe et son bras, se noyant dans son propre sang, elle s’est mise à pleurer et, en état de choc, elle s’est enfuie. Cette image me hante.A côté de cet enfant, allongé par terre, un homme était lui en train de rendre son dernier souffle. Il agonisait depuis vingt-quatre heures. Son corps était assailli par des mouches. Et je ne décris là qu’une scène parmi tant et tant d’autres. La majorité des blessés que nous avons reçus ont été déclarés morts à leur arrivée. Après trois mois de guerre et de siège, les capacités de l’hôpital Al-Aqsa sont extrêmement limitées en termes de moyens et de médicaments.Avez-vous été en mesure d’évacuer les blessés les plus gravement atteints hors de la zone des combats?Je n’ai pas réussi, pendant que j’étais présente dans l’hôpital, à transférer mes patients. A ma connaissance, aucun d’entre eux n’a pu être évacué vers l’Égypte. Peut-être que certains ont pu être transportés vers d’autres hôpitaux à Gaza. Mais il faut se rendre compte du chaos total qui règne dans les rues, les tirs, les bombardements, l’état de dévastation général. Il faut aussi comprendre que la nature et la gravité des blessures dont souffrent nos patients rendent tout transport extrêmement périlleux.

Dans quelles conditions les équipes médicales localestravaillent-elles?

Les médecins et infirmiers palestiniens devraient pouvoir témoigner dans les médias. Leur travail est indescriptible. Ce sont des gens qui, eux-mêmes, ont été déplacés par les bombardements non pas une fois, deux fois, mais parfois cinq, six fois et qui font tout leur possible pour sauver des vies. Certains sont des volontaires. J’ai le souvenir d’un médecin, venu rendre visite à un de ses amis hospitalisés, qui a décidé de rester après avoir constaté la situation dans le service des urgences, alors qu’il ne travaillait pas dans cet hôpital. C’est un exemple du niveau d’engagement que j’ai pu constater parmi le personnel médical. Mes collègues des services d’urgence font preuve d’un dévouement hors normes, alors que personne ne se préoccupe de leur sort. Certains travaillent nuit et jour et doivent en même temps s’occuper de leurs propres familles, sans abri ni nourriture.J’ai vu un médecin veiller sur le corps de l’un de ses collègues pendant toute une nuit, dans l’aile réservée au personnel, avant de reprendre son service dès le lendemain matin...

Appelez-vous à un cessez-le-feu?

L’IRC est profondément affecté par le fait que ses équipes ont dû évacuer les hôpitaux dans lesquels elles étaient déployées. Nous appelons à un cessez-le-feu immédiat et durable pour protéger les civils, les hôpitaux, les blessés et les malades. Les installations médicales doivent être en mesure d’exercer leurs missions humanitaires et de sauver des vies sans interférences.

Vous décrivez des civils ciblés par des bombardements. Comment qualifieriez-vous les actions de l’armée israélienne?

Je ne suis pas juriste et je ne peux donc pas qualifier ces actes. Je ne peux que décrire ce que j’ai vu de mes propres yeux: des blessures catastrophiques infligées à des femmes et à des enfants. Des blessures de guerre, massives, des amputations. Les cas de brûlures graves que j’ai eu à traiter, à la suite des bombardements, font partie des pires expériences auxquelles j’ai été confrontée. On se retrouve face à des blessés aux yeux et aux visages méconnaissables, à des enfants dont les parties génitales ont été brûlées et dont il est impossible de soulager les souffrances faute de médicaments et d’anesthésiques. Cette situation est inhumaine. C’est une tragédie pour l’humanité. Ce à quoi nous avons assisté à Al-Aqsa ne doit pas se reproduire dans le sud du territoire. Nous assistons à l’effondrement d’une ville, et aussi à l’effondrement des hôpitaux. Nous sommes juste en train d’attendre le moment où le prochain hôpital de Gaza va succomber.D’attendre la prochaine tragédie.

commentaires

Coutances : jeudi 11 janvier 18h Rassemblement contre les violences sexistes et sexuelles

Publié le 9 Janvier 2024 par Alternative Citoyenne de la Manche

 
 
 
 
A l'appel de : CMDDF, la CGT, la FSU 50, la LDH, le MRAP 50, le PCF, le NPA Saint Lô et Solidaires 50, appellent à un rassemblement contre les violences sexistes et sexuelles :
COUTANCES à 18 heures 
devant le palais de Justice, allée Gisèle Halim
 

 

Faites connaître notre action, transférez nos informations
 et notre adresse mail à vos réseaux:
visitez et faites visiter notre page Facebook ICI
Pour nous aider, adhérez : 10 euros par an 
envoyez-nous un mail ou adhérez directement sur helloasso
 
commentaires
1 2 > >>