• St Lô : Vendredi 28 février à 17h00 - Place de la mairie.
• Cherbourg : samedi 1er mars à 14h30 - place Jacques Hébert.

Le bureau du Collectif de défense des usagers et du service public ferroviaire tiendra son assemblée générale ce vendredi 21 février 2025, à 14 h, salle de Hérel à Granville (Manche). Des 9 h 30, des représentants de l’association seront présents pour répondre aux questions des habitants sur le train, et partager leurs propositions pour le Sud-Manche.

Quelles sont les alternatives au transport routier que l’on peut envisager dans le Sud-Manche ? C’est autour de cette question que le Collectif de défense des usagers et du service public ferroviaire se réunira ce vendredi 21 février 2025 à 14 h, salle de Hérel, à Granville (Manche).

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L’assemblée a été délocalisée à Granville « pour montrer, d’une part, notre engagement à défendre la présence du train sur tous les territoires et, d’autre part, présenter notre projet de développement du transport ferroviaire combiné, train et tram/train, comme alternative aux projets routiers, en particulier dans le Sud-Manche », indique le collectif.

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Le collectif répond aux questions dès 9 h 30

Tous les citoyens intéressés par ce sujet des transports sont invités à participer à cette assemblée. Ceux qui le souhaitent pourront venir à la rencontre des responsables du Collectif, qui seront présents sur place dès 9 h 30 pour répondre aux questions.

Il y a désormais deux dates dans l’histoire de la Conférence de Munich sur la sécurité : 2007 et 2025. Deux dates, deux discours hostiles qui ont provoqué un choc symétrique sur les élites de la défense et de la diplomatie réunies chaque année dans la capitale bavaroise : celui de Vladimir Poutine et celui du vice-président des Etats-Unis, J. D. Vance.

En 2007, le président russe, invité pour la première fois à Munich, avait sidéré les Occidentaux par un discours très offensif contre les Etats-Unis, qu’il accusait de vouloir instaurer un ordre unipolaire. Rétrospectivement, ce discours a été considéré comme l’un des tournants de l’après-guerre froide, le premier avertissement de la Russie de Poutine à l’Occident.

Vendredi 14 février, c’est le grand allié américain qui s’est retourné contre ses partenaires européens, fracturant l’Occident. « A Washington, il y a un nouveau shérif en ville », a averti le coéquipier du président Donald Trump, avant de se lancer dans une virulente diatribe contre les démocraties européennes, accusées d’étouffer la liberté d'expression.

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