Jean-Francis PECRESSE est éditorialiste du quotidien « les échos » qui se fait l’interprète des intérêts bien compris des milieux d’affaires . Il vient de rédiger un édito appelé « débordements » où il perd toute mesure et rompt avec le sérieux qui faisait la réputation de ce journal qui se veut différent d’un Figaro ou de TF1.
Il est intéressant d’analyser le discours tenu ( ceux qui veulent le texte complet se reporteront au site des échos et aux œuvres complètes de Pécresse ( décidément un nom qui n’incite pas à la réfléxion...)
Contentons nous ceci de quelques extraits significatifs de la nervosité qui gagne ces milieux privilégiés face au mouvement social aujourd’hui.
Voci une photo parue dans le New York Times :
La caricature, l’amalgame et autres procédés employés dans cet article sont l’expression de l’incompréhension de ceux qui majoritairement refusent cette réforme. Pécresse s’était déjà dévoilé dans un article intitulé « erreurs de jeunesse » qui « expliquait » pourquoi les jeunes ses trompaient de combat : il faisait partie du chœur de ceux qui dénient aux lycéens le droit d’avoir une opinion.