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11 décembre 2018 2 11 /12 /décembre /2018 18:00

 

Ceci est une lettre ouverte aux politiques qui prétendent gérer la France depuis 18 mois en prétendant faire de la politique autrement.

 

Bravo, ils ont réussi en une si courte période à mettre dans la rue les abstentionnistes et ceux qui ont refusé de choisir entre la peste et le choléra, et quelques autres pour faire front contre le fascisme.

 

Le premier destinataire est Monsieur SORRE député en marche, qui prônait la semaine passée le moratoire et l’état d’urgence, excusez m’sieur mais je ne vois pas d’émeutes dans nos campagnes.

 

Hier soir pour calmer les esprits jaunes, l’empereur Macaron 1er a pris la parole pour éprouver une émotion, une empathie savamment répétée hors caméra, débitant maladroitement ses propositions lues sur un prompteur apparemment mal placé.

 

Qu’à-t-il donc proposé des miettes, de la poudre aux yeux, qui ont fait rêver quelques gogos et quelques gilets jaunes crédules, mais la très très grande majorité, pensent vraiment, qu’il se fiche carrément du monde, enfin des gens, du peuple qui souffre d’être ainsi éreinté pour continuer à gaver des super nantis arrogants et méprisants eux mêmes.

 

C’est parti le SMIC, allez 100 € de plus sans préciser que 30 étaient déjà donnés, et le reste programmé jusqu’en 2020.

 

Les heures supplémentaires défiscalisées et hors charges, on se fout du monde, défiscalisées pour ceux qui ne paient pas ou peu d’impôt, c’est quasiment rien, pour les autres qui paient des impôts c’est une absence de participation à la solidarité nationale, quand aux charges cela bénéficie à l’employeur mais qui de l’abondement de l’assurance maladie, des caisses de retraites, merci pour la génération qui bosse et celles futures.

 

L’augmentation de la CSG est supprimée pour les retraités touchant moins de 2000 € de retraite par mois, bon, mais il faudrait prendre l’ensemble des revenus déclarés suivez mon regard, et les autres qui ont un peu plus mais à deux, rien nada, j’avais suggéré dans ces colonnes qu’il supprime l’augmentation de la CSG pour tous les retraités (pension de retraite) pas les autres revenus, mais avec effet rétroactif.

Et la revalorisation des retraites indexée sur l’évolution du coût de la vie c’est pour quand ?

 

L’ISF pas question d’y revenir a-t-il dit d’un ton ferme cette fois pour ne pas freiner les investissements, mais il nous prend pour des imbéciles. Il faut rétablir l’ISF sur tout sans abattements ni exonérations, c’est clair.

 

Et puis d’un coup il découvre qu’il y a des maires en France et qu’il va ré instaurer le dialogue avec la population à partir du niveau communal, ben j’y croirais quand je le verrais.

 

Par ailleurs beaucoup trop d’élus communaux ont autre chose à faire que de s’occuper de l’état de précarité ou des conditions de vie de leurs administrés, plus enclins à inaugurer les chrysanthèmes et figurer sur la photo du journal ou du bulletin municipal.

 

En parlant de précarité, certains n’hésitent pas à attirer des jeunes ménages voulant accéder à la propriété avec des prix de terrain ridiculement bas, mais situés à 15, 20, 30 km voire plus de leur lieu de travail, les obligeant à l’achat d’un deuxième véhicule car il n’y aucun ou plus de transport en commun à proximité.

 

Alors il va falloir gérer tout cela Mesdames et Messieurs les élus de tous niveaux.

Mais apparemment la légitime colère des gilets jaunes ne retombe pas.

Joël Bellenfant

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4 décembre 2018 2 04 /12 /décembre /2018 17:21

 

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4 décembre 2018 2 04 /12 /décembre /2018 16:14

Enfin la communauté de communes de Granville Terre et Mer a rendu sa copie sur sa stratégie pour favoriser les circuits courts, parfait après un an de consultations et de réunions, auxquelles nous avons participé.

 

Il faut rappeler pour ce faire que GTM avait chargé de la mission d’étude la Chambre d’Agriculture « alimentée » pour ce faire de la modique somme de 38000 €. Il faut savoir ou tout du moins rappeler que la chambre d’agriculture de la Manche est phagocytée par la trop puissante FDSEA (version départementale de la FNSEA).

 

Il est vrai qu’à l’été 2017 une enquête a eu lieu regroupant environ 450 témoignages, dont un tiers extérieur à GTM, mais bon, sur néanmoins 33 000 habitants. C’est pour vous dire la fiabilité du panel.

Au cours des réunions, effectivement les salariés de la chambre se sont activés pour générer au sein des participants des idées pour l’approvisionnement en circuit court.

Il faut préciser qu’à de nombreuses reprises nous avons demandé d’abord une définition du circuit court, qui en fait ne doit pas avoir plus d’un intermédiaire entre le producteur et le consommateur.

Mais si l’on est en circuit court, de plus au sein d’une communauté de communes pourquoi avoir un intermédiaire alors que l’on peut traiter directement avec les producteurs, soit par la vente à la ferme, soit sur les marchés, soit par le biais des AMAP (ASSOCIATIONS POUR LE MAINTIEN D’UNE AGRICULTURE PAYSANNE) ?

 

Pourquoi lors de la réunion de la Haye Pesnel il a été distribué le dépliant des producteurs de Manche Terroirs, qui mélange producteurs bios et conventionnels, alors qu’existe le catalogue des producteurs bios de la Manche édité par le Groupement des Agriculteurs Biologistes.

Pourquoi aussi ne pas dire clairement que l’agriculture biologique se fait SANS PESTICIDES

CHIMIQUES DE SYNTHESE, alors que l’agriculture conventionnelle en use et en abuse, sans prévenir le consommateur qui a droit à l’information.

Si des producteurs locaux conventionnels travaillent sans ces saloperies qui nous empoisonnent, et polluent les cours d’eaux et les nappes phréatiques, qu’ils le disent, mais soient capables de le justifier et le prouver.

 

Les états généraux de l’alimentation qui ont accouché d’une souris, puisque aucune interdiction du glyphosate n’a pu être inscrite, et les amendements proposant d’étiqueter les produits conventionnels du nombre de pesticides utilisés ont tous été rejetés.

Il a été aussi question, au cours de ces réunions, de l’approvisionnement en circuit court pour la restauration collective, à commencer par les cantines scolaires, et là d’un coup cela devient compliqué, alors qu’au niveau de l’école primaire la décision appartient à la commune, mais qu’au niveau des collèges domaine du conseil départemental il s’agit d’une volonté politique de faire ou pas.

Encore faut il que les cuisiniers des établissements scolaires jouent aussi le jeu, c’est tellement plus facile de commander à une centrale de restauration, qui vous livre de la bouffe toute prête à réchauffer, venant d’on ne sait où ?

 

Le maire de la Lucerne a déclaré à ce propos : « Il n’y a pas de raison que la restauration collective ne puisse pas proposer de produits locaux. Il faut allotir ». C’est curieux comme propos pour une commune qui nourrit gratuitement une trentaine d’élèves, mais avec seulement deux repas bios par mois, même si cela est positif, alors que le nombre de maraîchers bios dans le secteur se densifie .

Dans l’article de la Manche Libre du 1er décembre 2018 relatant cette réunion de GTM, il est question d’un plan de communication visant à promouvoir les produits locaux vis à vis du grand public, s’il s’agit de la brochure renouvelée de 2018, il faut préciser les informations au niveau de l’utilisation ou non des pesticides, en expliquant la différence entre les deux agricultures.

 

D’ailleurs lors des rassemblements de « Nous voulons des Coquelicots » le premier vendredi de chaque mois pour obtenir leur interdiction totale, peu d’élus sont présents, notamment à Granville où ni Mme le Maire ni la « Castafiore » «ne sont apparues » !!!

Il a été également proposé une marque locale d’identification, mais pourquoi diantre, bio ou pas bio, pesticidé ou non pesticidé, au moins c’est clair, mais au moins le consommateur aura le choix de vouloir s’empoisonner ou pas à petit feu !

Quant à l’élu RN il déclare : « C’est le moment de promouvoir les produits sans glyphosate et finalement vous oubliez tout ça » c’est pas faux, mais ce sont TOUS LES PESTICIDES qu’il faut virer, il ne faut pas la jouer petits bras !

Mais la cerise sur la gâteau (j’ai failli écrire gâteux) elle vient du vice président de GTM M. Mesnage qui déclare dans un premier temps : « Le but n’était pas de favoriser un type d’agriculture en particulier » Cela on l’avait bien compris en chargeant de l’étude la chambre d’agriculture, mais au moins d’expliquer précisément la différence entre les types de modèles agricoles.

Non content de sa sortie, il précise : « Il serait un peu hasardeux de dire qu’un produit qui n’est pas bio est forcément mauvais » Ce n’est pas tout à fait aussi simple que cela Monsieur le vice président, mais ce qui est certain, c’est que les produits bios comme je l’ai précisé plus haut ne contiennent aucun PESTICIDE CHIMIQUE DE SYNTHÈSE.

En plus vous semez sciemment ou pas le doute dans l’esprit du consommateur et ça ce n’est pas correct.

Par contre j’invite le consommateur a posé des questions partout où il s’approvisionne.

 

Joël BELLENFANT

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13 novembre 2018 2 13 /11 /novembre /2018 13:41

Contrairement à ce qui est souvent dit, le système de comptage numérique connecté Linky n’est pas intelligent, ce terme est totalement inapproprié, il est communiquant ou connecté ce qui est totalement différent.
Une de ses connexions avec ENEDIS est une finalité fondamentale du Linky qui est actuellement non activée et surtout savamment occultée aux consommateurs automobilistes car cela aurait un effet dévastateur, c’est celle du prélèvement des taxes fiscales liées à la charge des véhicules électriques via le système de comptage connecté Linky.
Personne n’ignore que les politiques ont engagé une vaste mutation contraignante et fiscale qui doit aboutir par étapes à ce que tous les véhicules thermiques soient remplacés par des véhicules électriques d’ici les années 2017 à 2040.

Pour ce faire il a fallu transformer non seulement la législation, mais aussi le principe de collecte des taxes car l’État ne peut évidemment se priver des rentrées fiscales liées aux carburants, en conséquence en 2011 qui est l’année de l’officialisation du système de comptage connecté Linky coïncide avec le changement du nom de la TIPP - Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers qui est remplacée par la TICPE - Taxe Intérieure de Consommation sur les Produits Énergétiques.
La TICPE rapporte près de 30 milliards d’euro dans les caisses de l’état chaque année. C’est d’ailleurs le 4ème poste de recette fiscale derrière la TVA, l’impôt sur le revenu et l’impôt sur les sociétés.
Avec le Linky l’administration fiscale va disposer d’un outil qui va lui permettre d’encaisser les taxes liées à la TICPE.

Concrètement lors des charges de véhicules électriques ou d’accumulateurs ou tous dispositifs de stockage de l’énergie électrique, cette action de charge sera détectée par le gestionnaire ENEDIS, via le bus filaire de l’Émetteur Radio Linky qui possède 7 interfaces appelés TIC acronyme de Télé-Information Client, dont le TIC numéro 5 correspond à la charge des véhicules électriques.
Le bus de Télé-Information Client a une liaison maximale de 500 mètres, cette liaison en voie montante et descendante se réalise suivant le principe de trames émises les unes après les autres de façon cyclique en continu d’une durée comprise entre 16,7 et 33,4 milli seconde
En principe à partir de 2021 qui est la fin officielle du déploiement des compteurs Linky, pour charger les batteries de son véhicule électrique l’automobiliste aura les choix soit d’une charge normale, accélérée ou rapide suivant les propositions de la délibération de la CRE qui est la Commission de Régulation de l’Énergie qui détaille la tarification hors TVA des 3 taxes qu’auront à payer les automobilistes.
Ces 3 taxes chiffrées que devra payer l’automobiliste sont celles de la gestion, correspondant à l’identification fiscale du véhicule, celle du comptage correspondant à la délivrance d’un contrat de puissance additif payant spécifique en kilo Volt Ampères et enfin celle dite du soutirage correspondant à la consommation en kWh de la charge du véhicule.
Notons que le TIC 5 est basé et délivre de la Puissance APParente soutirée donc par rapport au cosinus phi ce qui engendre en moyenne une surfacturation de 10 à 40 % pour les automobilistes.
 

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5 novembre 2018 1 05 /11 /novembre /2018 18:06

Même avant ! Chaque véhicule contient 11kg de terre rare ! quand on connait l'impact écologique, social et politique .... et sans oublier les problèmes de prises comme à Oslo.

A Oslo, la capitale, les 1300 points de charge ne suffisent plus à satisfaire les 80 000 voitures électriques et hybrides rechargeables en circulation.

Plus d’un véhicule sur trois vendu en Norvège est électrique. On pourrait penser que le pays a du mal à produire l’électricité nécessaire à leur fonctionnement ou que le réseau sature, mais le problème est tout autre : il manque de bornes de recharge.

En survolant Oslo depuis l’application Chargemap, on se rend compte de la densité inouïe de bornes de recharge dont bénéficie la ville. Pourtant, elles ne sont plus assez pour alimenter les très nombreux véhicules électriques et hybrides rechargeables. Ces derniers représentent 40 % des véhicules en circulation dans la capitale Norvégienne.

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27 août 2018 1 27 /08 /août /2018 08:10

Enfumage !

Le système « intelligent » consomme de 10 à 15% d’électricité en plus
En plus de l’augmentation de 20 à 30 % de la facture d’électricité qui résultera du fait que le comptage des compteurs Linky qui n’est plus en Kilo Watt heure mais en Kilo Volt Ampères,

il faudra d’après un poseur de compteur, ajouter la facturation (actuellement différée pour cacher son coût, c’est la raison pour laquelle ENEDIS dit que c’est gratuit) la pose du compteur estimée à plus de 200 € pièce, plus le compteur Linky lui-même dont on ne connaît pas le prix et le coût des 3 centres de gestion des données ni ceux des 3 réacteur qu’il faudra pour les faire tourner.
Les compteurs Linky mis au point en 2006 ont une durée technique de 5/7 ans, son logiciel ne pourra pas supporter les futures évolutions de la Transition énergétique, et la durée de vie de sa pile interne au lithium est limitée.
Après il faudra repayer un nouveau compteur.
La durée de vie des concentrateurs qui récupèrent les données émises par les compteurs est de 10/15 ans, et leur remplacement n’a pas été budgété.

Une fois déréglementé, les factures EDF vont déjà exploser pour rattraper les retards d’infrastructure, sans compter les Linky.

FUTURES FACTURES EN TRÈS FORTE HAUSSE Bonjour la note FINALE.

Il faudrait déjà commencer à affuter faux et faucilles de la Bastille, afin d’être prêts quand les totaux seront annoncés.

 Argument fatal contre Linky
 
Lors d’une intervention chez un client particulier ou professionnel, l’Assurance Responsabilité Civile Professionnelle est OBLIGATOIRE.
Elle doit être présentée à jour de cotisation, sur simple requête du client, et couvrir l’ensemble des activités d’ENEDIS et/ou de ses partenaires, ainsi que les dégâts matériels et immatériels qui pourraient être occasionnés par l’installation ou le fonctionnement du compteur LINKY.
Or, la société EDF Assurances (immatriculation RCS Nanterre 412 083 347, au capital de 39.000 euros) est un société de « courtage d’assurances et de réassurances » et non une compagnie d’assurance, comme le prouve son extrait Kbis : la société EDF Assurances n’est pas un assureur de dommages.
Par conséquent, la SA ENEDIS, en tant que personne morale assurant la promotion du LINKY dont elle a apposé la marque sur le capot en plastique jaune du compteur mis en place chez les abonnés, contrevient à l’obligation d’assurance à laquelle elle est tenue au titre de l’article 1792-4 du Code Civil. Ce défaut d’assurance prive ENEDIS de toute possibilité de contraindre ses clients à accepter le Linky et ses risques, car personne ne peut contraindre quiconque à assumer un risque pour lequel il n’est pas assuré.
Si ENEDIS n’est pas assuré, les collectivités locales censées prendre le relais en cas de sinistre ne le sont pas non plus, si l’on en croit les exceptions prévues par GROUPAMA dans le cadre de sa police VILLASSUR pour les collectivités. Les collectivités ou leurs représentants peuvent donc faire l’objet de poursuites au civil comme au pénal car aucune compagnie d’assurance depuis 2003 ne couvre les risques et dommages résultant d’une technologie liée aux champs électromagnétiques.
Ce manquement constitue, à lui seul, un motif de refus du compteur LINKY.
Source : Morphéus Nov. 2017 – Article de Patick RICHARDET

 

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17 août 2018 5 17 /08 /août /2018 17:57
vendredi 17 août 2018
Actuellement presque 14% de la production électrique, en France, est assurée par les barrages hydro-électriques : la VRAIE électricité non-carbonée, indéfiniment renouvelable, sans déchet, souple, idéale, quoi !
 
Ces barrages, dont la France est si bien pourvue, ont actuellement un rôle absolument essentiel. Pourquoi ? Justement, parce que la plupart du temps ils ne sont pas à pleine charge, au contraire leurs turbines fonctionnent au ralenti.
 
 
barrage-voûte de Castillon
 
En hiver, quand généralement le niveau de l'eau est au plus haut, se produisent de grands pics de consommation à certaines heures, pour l'eau chaude et pour le chauffage des ménages, et aussi à peu près aux mêmes heures pour le pic de démarrage des machines dans les usines.  En un quart d'heure au maximum, les turbines peuvent recevoir bien plus d'eau, rétablissant l'équilibre. Pour comparer, les centrales thermiques (y compris les centrales nucléaires, qui après tout ne sont que des bouilloires géantes) prennent plusieurs heures pour augmenter leur production de façon significative. Quant aux éoliennes, elles ne peuvent donner que ce que le vent leur accorde, ce qui est très aléatoire.
 
Rappelons que l'énergie électrique ne se stocke guère. En-dehors des (chères, polluantes à la production, encombrantes) batteries d'accumulateurs, ne peuvent intervenir dans de rares cas que des couples de lacs (un en haut, un en bas dans les montagnes) : quand la consommation se raréfie, et que le prix du KWh est au plus bas, des pompes-turbines près du lac du bas MONTENT l'eau dans le barrage supérieur, alimentées par des moteurs électriques ; en revanche, en cas de pointe les vannes du lac supérieur s'ouvrent, les turbines du haut se mettent à tourner, entraînant des alternateurs pour un apport électrique complémentaire quasi instantané. C'est tout de même limité.
 
 
Voilà que Bruxelles (enfin, les lobbies qui pilotent cette aberration) fronce les sourcils, et exige que la France vende ces régulateurs non polluants à la concurrence. Régulateurs payés avec nos impôts, autrefois, bien entendu. Certes, c'est une perte de patrimoine.
 
 
Mais c'est bien plus. Quand une boîte comme... bof... tout-à-fait au hasard Solvay (je ne sais pas du tout s'il est intéressé, c'est juste un exemple) acquiert de tels monuments, c'est pour faire des sous-sous, donc pour les utiliser au maximum. Que va-t-il se passer ? Actuellement le centre de régulation national (ou un de ses centres régionaux) de RTE téléphone (là encore au hasard) au responsable du barrage de l'Aigle, en lui disant de « pousser les feux » à sa grande machine au ralenti. Hop, c'est parti pour un apport supplémentaire de tant de mégawatts.
 
barrage de l'Aigle
 
Quand Solvay ou un autre en aura pris les commandes, ce ne sera plus possible puisque le barrage sera presque toujours au maximum de sa capacité, il n'y aura absolument plus d'effet tampon. Il faudra trouver un moyen de réguler d'une autre façon. Cette autre façon, c'est la coupure d'électricité aux usagers plus ou moins volontaires d'un secteur. Oh, ce sera facile, il suffira de lancer un ordre à tels et tels concentrateurs, qui répercuteront à tels ou tels CAPTEURS via le CPL. Couic, plus de courant à la machine à laver, ou au four en train de cuire un soufflé... vous imaginez le tableau !
 
Les CAPTEURS nouvelle génération (apparemment on ne dit plus Linky, les communicants à pattes se sont mordus les doigts et ont rectifié le tir) sont bien là pour cette compensation, en plus de leur collecte permanente de données. On va bien rire.... euh...
 
Comment éviter de "parler politique" ? Il s'agit là de notre vie de demain (pas dans dix ans, bien plus tôt). Les CAPTEURS sont un élément essentiel d'une stratégie bien élaborée et à nombreuses facettes.
 
 Ceux qui refusent aujourd'hui de le voir, le regretteront un jour proche. Ils auront pourtant été prévenus, mais leurs oreilles auront été fermées à ces indications. Les Cassandre sont toujours mal vus.

Cet article est illustré grâce à Lucas Grandin et Malou C.,
élèves de la première S SVT 622 du lycée Jacques de Vaucanson à Tours.
Merci à eux.
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10 août 2018 5 10 /08 /août /2018 15:12

 

 

 

 

 

 

Tout ce que vous devez savoir sur

 

LE BUSINESS DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE

 

(pour accéder directement à la Consultation Nationale sur la Sécurité Routière, cliquez ici)

 

Madame, Monsieur,

Si vous faites partie de ces millions de Français qui n'ont pas une conduite dangereuse, mais qui conduisent dans l'angoisse de se faire piéger par des radars situés à des endroits absurdes ou cachés dans des voitures banalisées en circulation...

...qui ont peur de perdre des points et payer une amende pour quelques km/h de plus que la limite autorisée, …

… alors ce que je m'apprête à vous révéler est de la plus haute importance.

Beaucoup de Français supposent qu'en mettant des radars partout, de plus en plus sophistiqués et indétectables, nos dirigeants ont à cœur de nous protéger, d'assurer notre sécurité. D'autres pensent aussi que l'argent des radars sert à renforcer la sécurité routière, à payer la police ou les routes.

On en est bien loin. Et je vais vous le prouver, chiffres à l'appui.

Dans quelques secondes, vous allez découvrir que, lorsque vous vous faites flasher, vous alimentez la cash-machine la plus juteuse depuis l'invention de Las Vegas… Où d'énormes entreprises privées encaissent des bénéfices gigantesques sur votre dos.

Et comment, derrière le  mythe de la "sécurité grâce aux radars", le gouvernement a cassé la dynamique de ce qui avait fait le succès de la sécurité routière depuis les années 70, …

... au point de faire repartir à la hausse le nombre de tués sur les routes entre 2014 et 2017.

Pourquoi les autorités acceptent-elles de sacrifier ainsi notre sécurité sur les routes tout en faisant mine d’en faire une grande cause nationale ?

C'est que la répression routière est devenue un incroyable business. Qui rapporte, chaque année, 1,8 milliard d'euros.

Et l’État n’est pas le seul à profiter de ce jackpot : au fil des années, des dizaines d’entreprises nationales et multinationales sont parvenues à s’approprier une part grandissante de ce juteux marché.

C’est ce business que je vais vous détailler dans quelques instants. Un business très lucratif pour certains, et absolument dévastateur pour les conducteurs et les familles qui perdent l’un des leurs sur la route.

Mais avant cela, laissez-moi vous dire que je milite aux côtés de la Ligue de Défense des Conducteurs.

C'est une association de citoyens qui ont décidé de s'organiser pour résister ensemble aux dérives de la répression routière, et pour restaurer enfin une politique de sécurité routière juste et efficace.

Vous avez peut-être entendu parler de notre association dans les médias, lors de nos différents combats contre la frénésie répressive des gouvernements successifs, ou par le biais de nos manifestations et actions auprès des hommes politiques.

Vous recevez peut-être tout simplement nos messages d'information.

Si c'est le cas, vous savez que chaque fois que le gouvernement sort une nouvelle sanction injuste envers les conducteurs, il nous trouve sur sa route. Nous avons à plusieurs reprises obtenu gain de cause, en empêchant par exemple la généralisation du 110 km/h sur autoroute, ou comme lorsque nous avons réussi, avec d'autres associations, à empêcher le retrait des panneaux des radars.

Mais pour sortir une bonne fois pour toutes de ce système de répression injuste et déshumanisé, et revenir à une politique de sécurité routière qui sauve vraiment des vies, notre association doit pouvoir informer un maximum de conducteurs.

Ne vous y trompez pas : je ne viens pas faire l'apologie de la violence routière. Je ne suis pas là pour défendre les conducteurs dangereux.

Comme tout le monde, je souhaite du fond du cœur qu'il y ait moins d'accidents chaque année.  Et c'est justement pour ça qu'il est grand temps que tous les Français connaissent la vérité sur les radars.

La vérité, la voici : 

Contrairement à ce que le gouvernement répète en boucle depuis des années, les radars n’ont jamais sauvé de vie.

Je suis conscient pour que de nombreuses personnes, cette vérité est difficile à entendre. Comment pourraient-elles soupçonner que les pouvoirs publics font de la propagande mensongère sur un sujet aussi grave ?

Pourtant, les faits sont là :

Les chiffres fournis par l’ONISR, l’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière, montrent clairement que le nombre de tués sur les routes baisse de façon quasi-continue depuis  40 ans.

Il y a cinq fois moins de tués sur les routes aujourd’hui qu’en 1972, alors que la circulation a augmenté de près de 80 % dans le même temps. C’est un formidable succès. Mais il ne doit rien aux radars.

Au contraire.

La baisse de la mortalité s'est même infléchie depuis leur mise en place à la fin de l’année 2003 et la répression aveugle qui s’en est suivie.

Les raisons de ce recul de la mortalité routière depuis plus de 30 ans sont bien connues :

- amélioration constante des routes et des carrefours

- amélioration des véhicules : airbags, abs, aide à la conduite, port de la ceinture...

- campagnes de sensibilisation et de prévention efficaces

- lutte contre l’alcool au volant, répression ciblée et mesurée des conduites dangereuses.

Pourtant, à partir de la fin de l’année 2003, la politique de prévention routière qui avait si bien fonctionné jusque-là, est progressivement abandonnée.

L’État commence à investir dans les radars :

Ils deviennent la pierre angulaire d’un système de répression de masse qui frappe essentiellement les petits excès de vitesse. Pourtant, rouler à 3 ou 4 km/h au-dessus de la limite autorisée, ce n'est pas ce qu'on peut appeler une conduite dangereuse.

Le système du « tout radars » punit aveuglément le plus grand nombre sans réduire pour autant le nombre d’accidents et de morts sur les routes.

Quinze ans après, la situation est catastrophique :

Les petits dépassements de vitesse représentent 96 % des retraits de points.

Chaque année, 218 000 personnes perdent leur permis.

Et environ un tiers d’entre elles - près de 72 000 - perdent leur emploi par la suite. Des VRP, des livreurs, des infirmières libérales, des médecins qui ne peuvent plus exercer.

Malgré cette hécatombe, le gouvernement s’acharne à diaboliser la vitesse.

Cela permet de verbaliser les gens qui conduisent raisonnablement, et ont d’ailleurs 50% de bonus sur leur assurance, mais qui ont le malheur de dépasser de quelques km/h la limite autorisée.

C’est un réservoir gigantesque de nouvelles rentrées fiscales déguisées.

Rien d’autre ne justifie cette frénésie anti-vitesse.

Aujourd’hui encore, aucune étude scientifique n’établit de lien direct entre vitesse et mortalité routière.

Je sais que ça paraît invraisemblable, mais c’est la stricte vérité : aucune étude scientifique n’a jamais été menée en France pour vérifier le bien-fondé ou l’efficacité des mesures répressives anti-vitesse prises depuis 2003.

Les statistiques officielles de l’ONISR  tendent même à prouver que les accidents de la route n’ont rien à voir avec la vitesse.

Prenons juste quelques exemples :

-  2012 : la vitesse moyenne augmente en France. Et pourtant, le nombre de tués sur la route diminue de presque 8%.

- Entre 1998 et 2002, la mortalité diminue de 15 %, alors que, sur cette période, la vitesse moyenne de circulation augmente sur tous les types de réseaux : autoroutes, Nationales et réseaux urbains.

-  2003 : alors que le nombre de tués sur les routes baisse de 26 %, de façon "historique" juste avant l’implantation des premiers radars, la vitesse de circulation reste stable cette année-là.

- Et en 2015, bien que la vitesse moyenne ait diminué, cela n'a pas empêché la mortalité sur les routes d'augmenter de 2 %...

Non, vraiment, aucun lien entre vitesse et mortalité.

Pourtant, le discours du gouvernement et des associations anti-vitesse qu’il subventionne à 100 % est toujours le même. A chaque fois qu’il faut justifier une nouvelle mesure répressive, comme l'abaissement à 80 km/h sur les routes secondaires, ils nous ressortent la même litanie : 

"1 % de vitesse en moins, c’est 4 % de morts en moins"

C’est un dogme absolument infondé. Notre association a d'ailleurs publié une étude d'un mathématicien indépendant, qui a longtemps travaillé pour la Défense nationale, qui démontre clairement que cette formule ne s'appuie sur aucun fondement mathématique.

Mais pour le gouvernement, ce dogme, imprimé dans les esprits à grands coups de campagnes publicitaires, est très pratique : il permet de s’acharner sur la vitesse, et de faire passer le moindre petit dépassement de la limite autorisée pour un acte criminel.

Ce qui, bien sûr, légitime la multiplication débridée des radars.

Le système est bien ficelé :

un impôt vitesse camouflé derrière un dogme pseudo scientifique …

Et l’État peut tranquillement faire fructifier le pactole des radars, et le partager avec quelques entreprises bien implantées et proches du pouvoir.

Car derrière les radars, c’est tout un business qui s’est développé pour orchestrer le racket des conducteurs...

Dès l’origine, le gouvernement fait appel à des sociétés privées pour mettre en place sa nouvelle politique de répression routière.

Excellente affaire pour quelques entreprises triées sur le volet. Le gouvernement leur ouvre du jour au lendemain des marchés colossaux totalement garantis. Une situation de rente pour quelques privilégiés – beaucoup d’argent, aucun risque.

C'est ce qui se passe notamment pour la gestion des PV.

Au départ, c'est Atos, la société d'un ancien ministre des Finances, qui règne en maître sur ce marché pendant 12 ans.

2015 : soupçons d'entente sur Atos. Le marché change de mains.

Capgemini remporte le morceau pour 4 ans. Montant du pactole ?
15 millions d'euros, pour cette entreprise dont le PDG est un proche du président de la République.

D'autres entreprises profitent allègrement de ce jackpot :

-Docapost, filiale de La Poste, qui achemine chaque année des dizaines de millions de PV.

-Morpho, qui fabrique et entretient une grosse partie des radars en France depuis 2003.

-Et, au fil des ans, de nouvelles entreprises qui inventent en permanence de nouvelles techniques répressives toujours plus perfectionnées : Parifex et ses radars double sens, Gatso avec les voitures radars, Vitronic pour les radars autonomes…et maintenant les sociétés qui font tourner les voitures-radars avec chauffeurs dans la circulation.

Désormais, 4 700 radars (500 de plus qu'il y a deux ans !) sévissent sur le territoire français.

Et chaque année, ces grosses boîtes se partagent un gâteau de plus de 178 millions d’euros que le gouvernement investit pour avoir des appareils de plus en plus sophistiqués :

Radars fixes, radars mobiles, radars tronçons qui calculent la vitesse moyenne sur plusieurs kilomètres ; radars discriminants capables de distinguer les poids-lourds des véhicules légers ; radars double sens qui flashent dans les deux sens de circulation ; radars feux rouges, qui vont maintenant pouvoir flasher aussi la vitesse ; radars autonomes, qui flashent jusqu'à 7 500 voitures par jour ; radars embarqués dans des voitures se fondant dans le flot de la circulation...

Sans parler des dernières technologies qui arrivent chaque jour sur le marché : l'un des derniers radars mis au point, le Mesta Fusion, est capable de flasher sur six files en même temps et peut même voir ce qui se passe à l'intérieur des voitures, pour verbaliser le conducteur qui a mal bouclé sa ceinture !

Depuis 2017, les fabricants de radars et consort sont même allés encore plus loin pour rentabiliser au maximum les radars :

Pour pouvoir piéger un maximum de conducteurs à toute heure, sur n'importe quelle route, et faire fructifier la cagnotte de la répression routière, ils ont eu l'idée du siècle : faire conduire les voitures-radars, celles qui flashent en toute discrétion les voitures qui les dépassent ou qui les croisent, par des chauffeurs privés...

...et le gouvernement s'est empressé d'accepter ! Les premiers contrats ont été signés pour la Normandie, et le système est en train d'être déployé petit à petit dans toutes les régions de France...

...Avec, à la clef, des milliards d'euros de nouvelles recettes potentielles à se partager entre l'Etat, les sociétés privés et les fabricants de radars...

Encouragé par les entreprises qui exploitent les radars, les gouvernements successifs ont mis en place un système de répression routière et de contrôle des citoyens, à une échelle encore jamais vue.

Un système où la répression est massifiée, robotisée, automatisée.

Et avec les voitures-radars privatisées, ça va carrément être le casse du siècle pour les sociétés qui fabriquent et font tourner les radars, et pour le gouvernement.

Je n'exagère pas : rien que pour ces voitures radars, ils ont prévu de passer de 1,5 million de PV par an à... 12 millions !

Vous l'avez compris : plus la répression est automatisée et systématique, et plus les grandes entreprises qui entretiennent ce système profitent de l'argent des conducteurs.

Mais il y a plus grave : en misant tout sur les radars et la répression automatique, l'État ne s'attaque pas seulement à votre portefeuille : il sacrifie votre sécurité sur la route.

Ces dernières années, alors qu'il dépensait des centaines de millions dans l'achat et l'entretien des radars, le gouvernement a décidé de "faire des économies" en coupant dans les budgets d’entretien des routes.

Peut-être n’avez-vous pas entendu parler de ce scandale ? En 7 ans, le gouvernement a amputé de près d'un quart le budget alloué à l'entretien des routes nationales et départementales. C'est pourtant sur ce type de routes qu'ont lieu 3 accidents mortels sur 4 !

Combien de vies auraient pu être épargnées si l'État avait entretenu les routes au lieu de mettre de l'argent dans l'achat de nouveaux radars ?

Des conducteurs sont envoyés dans le décor à cause d'un nid-de-poule ou d'une chaussée déformée. Des familles entières sont ainsi brisées.

Mais tout cela est laissé de côté par le gouvernement, qui préfère diaboliser la vitesse.

Si, aujourd'hui, je vous révèle toutes ces vérités sur la répression routière, ce n'est pas pour vous démoraliser. Au contraire : je veux vous proposer d'agir, ensemble, contre ces dérives intolérables de la répression routière.

Le but de notre association, la Ligue de Défense des Conducteurs, est d'alerter l'opinion publique, les médias, les hommes politiques, et faire entendre la voix des conducteurs.

Notre objectif :

En finir avec le business des radars et l'inconscience du gouvernement qui sacrifie notre sécurité sur les routes, et revenir à une politique de sécurité routière qui sauve vraiment des vies.

Ce n'est pas en laissant faire le racket par les radars qu'on empêchera les accidents sur la route.

Bien entendu, une personne seule ne peut rien contre ce système.

Mais des dizaines, des centaines de milliers de citoyens organisés, faisant front commun, peuvent faire changer les choses !

Par expérience, je sais que, lorsque les conducteurs se mobilisent massivement, ils peuvent obtenir gain de cause

Il y a sept ans, après une manifestation et une forte mobilisation des conducteurs à travers toute la France, le gouvernement a dû renoncer à ne plus signaler les radars fixes...

Aujourd'hui, si vous recevez cette vidéo, c'est parce que les membres de la Ligue de Défense des Conducteurs ont réuni les fonds nécessaires pour la concevoir et la diffuser et vous demander de participer à notre Enquête nationale sur la Sécurité Routière.

Les résultats de cette Enquête seront communiqués aux médias, ainsi qu'aux députés, au gouvernement et au Président de la République. Nous devons les submerger d'Enquêtes pour qu'ils prennent conscience de l'ampleur du ras le bol des conducteurs.

C'est pourquoi la participation de chacun est cruciale.

Après avoir rempli votre Enquête, vous aurez la possibilité de faire un don à notre association.

Cela peut vous paraître superflu, mais c'est en réalité essentiel pour le combat que nous devons mener ensemble.

En effet, pour obtenir des résultats, nous devons multiplier les actions qui demandent un énorme travail en amont :

**Information et sensibilisation des parlementaires : de nombreux députés prêtent une oreille attentive à nos arguments, et nous multiplions les rendez-vous à l'Assemblée nationale pour faire voter des lois qui vont dans le sens des conducteurs. C'est grâce à ce type de travail continu que nous avons pu, en 2016, obliger 169 députés de tous bords à prendre position sur les radars invisibles, ou que nous avons pu faire déposer en 2017 un amendement "anti-radars" co-signé par 44 députés : une première à l'Assemblée nationale !

**Mobiliser l'opinion publique : la Ligue de Défense des Conducteurs organise des campagnes nationales de pétitions à chaque fois que le gouvernement veut encore resserrer l'étau autour des conducteurs. Notre pétition "Non à la baisse des limitations de vitesse" a rassemblé plus de 2,1 millions de signatures dans toute la France !

**Faire passer nos idées dans les médias : nous devons mener un travail intense auprès des journalistes pour qu'ils citent nos travaux, reprennent nos arguments en faveur des conducteurs et donnent la parole à nos experts. Pour développer notre mouvement, il est indispensable de créer un débat public sur la répression routière.

**Études et recherches sur la sécurité routière : notre association a constitué, au fil des ans, un réseau d'experts (avocats, assureurs, ingénieurs...) que nous avons pu rassembler lors d'un colloque au Sénat pour combattre les idées reçues sur la vitesse.

Maintenant, nous voulons continuer ce travail en créant un véritable comité d'experts pour étudier en profondeur les causes d'accidents. Nous pourrons ainsi, non seulement démolir une bonne fois pour toutes le dogme anti-vitesse qui justifie la répression insensée que le gouvernement nous fait subir, mais surtout proposer des réformes qui permettraient vraiment de sauver des vies sur la route.

A tout ceci s'ajoutent les frais de dépouillement des Enquêtes, des courriers, l'envoi d'informations régulières aux membres de l'association, ainsi que les frais de téléphone, d'internet, et le loyer de nos bureaux.

Sans le soutien financier des membres de l'association, nous ne pourrions jamais financer tout cela.

Mais si nous voulons étendre notre mouvement, nous allons avoir besoin de l'aide du plus grand nombre de citoyens possible.

La Ligue de Défense des Conducteurs ne reçoit aucune subvention publique, ni d'aucune autre organisation d'ailleurs. Cela nous permet de garder notre indépendance et de pouvoir contester librement la politique répressive du gouvernement.

C'est pourquoi je me permets de vous demander d'aider à financer tout ce travail. Notre association ne peut compter que sur des citoyens responsables comme vous pour agir.

C'est vous, et vous seul, qui déciderez du montant utile pour nous aider.

Votre don peut être de 5 ou 10 euros. Vous pouvez aussi donner 50 ou 100 euros. Souvent, les gens donnent 20 ou 30 euros. Chacun participe en fonction de ses possibilités, et c'est ça qui est important.

Si les conducteurs ne s'organisent pas dès aujourd'hui pour faire front commun contre la politique de répression routière scandaleuse qu'on nous impose, au détriment de notre sécurité sur la route, le gouvernement continuera dans sa lancée.

Maintenant, c'est à vous de décider.

Vous pouvez laisser le gouvernement continuer son racket sur les conducteurs raisonnables pour le plus grand profit d'un business florissant.

Vous pouvez le laisser sacrifier votre sécurité en n'entretenant plus les routes, et en focalisant sa politique routière sur la répression au détriment de la prévention et de la formation.

Si c'est votre choix, vous pouvez fermer cette vidéo et laisser la situation sur les routes se dégrader.

Si au contraire, vous décidez qu'il est grand temps que les conducteurs de ce pays s'organisent pour faire barrage, tous ensemble, aux dérives de la répression routière.

Si vous êtes prêt à rejoindre un grand mouvement de résistance, organisé de façon professionnelle, regroupant déjà 55 000 citoyens, pour qu'ensemble on fasse changer les choses, alors cliquez sur le bouton ci-dessous.

Pour participer à l'Enquête nationale sur la sécurité routière organisée par la Ligue de Défense des Conducteurs, et faire un don à notre association :

CLIQUEZ ICI POUR ACCEDER A LA CONSULTATION NATIONALE

Après avoir répondu à votre Enquête, vous pourrez faire votre don à l'association en toute sécurité, sur une page bancaire de paiement en ligne.

Ce don est parfaitement libre. Il n'est pas obligatoire.

C'est vous qui décidez, ou non, de soutenir notre travail pour organiser la résistance aux excès de la répression routière. En tout cas, si vous décidez de nous aider à financer ce mouvement, votre contribution sera un apport précieux.

Notre mouvement a été créé il y a neuf ans. Depuis, 55 000 citoyens sont venus grossir nos rangs et soutenir nos actions. Grâce à leur générosité, nous avons pu faire de la Ligue de Défense des Conducteurs le premier grand mouvement national de résistance aux dérives de la répression routière.

C'est grâce à eux que notre organisation acquiert chaque jour un peu plus de notoriété, auprès des médias comme source d'information et auprès des hommes politiques comme force de proposition.

Il n'y a pas de miracle : si un grand nombre de conducteurs ne se mobilisent pas maintenant pour dire STOP à la répression insensée qu'ils subissent sur les routes, et soutenir financièrement notre mouvement, alors notre association n'aura pas les moyens de continuer le combat.

Tout dépendra de ce que vous décidez maintenant.

Je vous remercie d'avance.

 

CLIQUEZ ICI POUR ACCEDER A LA CONSULTATION NATIONALE

  

Ligue de Défense des Conducteurs

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3 août 2018 5 03 /08 /août /2018 16:54

 

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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 17:42

Vidéo Production Édouard Philippe

https://www.youtube.com/watch?v=UTdTjmxAh3Q

 

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