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10 décembre 2018 1 10 /12 /décembre /2018 18:17
Mail d'Enédis à un abonné et sa réponse

Réponse de l'abonné:
Saint Jean des Champs, le 6 décembre 2018
à
                                ENEDIS
                                Tour ENEDIS
                                34, place des Corolles
                                92079 PARIS la DEFENSE cedex

Objet  : Complément à la mise ne demeure-refus du compteur Linky

                Monsieur le représentant légal,

           Par ce courrier, je souhaite vous préciser les arguments qui m’amènent plus personnellement à refuser ce nouveau compteur «  Linky  »  :

    ENORME GASPILLAGE  ECOLOGIQUE  et ECONOMIQUE  : Mon compteur fonctionne très bien tout comme les 35 millions d’autres compteurs concernés.
Où est l’économie réalisée  ? Que vont devenir les 35 millions de «vieux» compteurs  ?
C’est ma raison principale de refus. D’autant que nous avons l’exemple du Canada où l’état démonte les 150000 compteurs Linky qui ont été installés et ce pour un coût de 15 millions de dollars  !!

    L’installation de ces compteurs va entrainer la disparition de 8000 emplois.

    Selon de nombreux témoignages, le Linky, loin de participer à réduire la consommation d’énergie électrique (Directive Européenne de 2008/2009) la favorise plutôt puisqu’il s’avère que, souvent, pour une même utilisation domestique, le Linky disjoncte.
Il en résulte la plupart du temps une augmentation de contrat (donc une augmentation de coût pour l’usager  !) et à terme, j’y vois plus un encouragement à consommer qu’à réduire sa consommation électrique  !!

    Le Courant Porteur en Ligne (ou CPL) provoqué par le concentrateur a une fréquence de 30KHertz alors que les câbles électriques de ma maison sont prévus pour supporter 50 Hertz.
Quid, de ce fait, des rayonnements électromagnétiques  ?
Par ailleurs, moi qui n’ai pas de WIFI et qui coupe mon téléphone portable le plus souvent possible, je n’aurais pas la possibilité de couper ce CPL et son rayonnement   me sera imposé, ce que je refuse.

        Vous souhaitant bonne réception, 

 

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12 novembre 2018 1 12 /11 /novembre /2018 08:45

 

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27 août 2018 1 27 /08 /août /2018 09:05

 

Communiqué de presse de la France Insoumise

 

Ce qui a été publié du "projet portuaire" actuel et qui n'en n'a que le nom , comme bien d'autres avant lui , laisse entrevoir un pur projet immobilier. Il faut noter au passage que depuis 43 ans , date d'ouverture du bassin de plaisance , aucun investissement conséquent n'a été réalisé dans le port de Granville , en dehors de ce qui a été financé par les taxes d'usage sur la valeur de la pêche débarquée .

 

Donc projet immobilier dont les défauts ont déjà été soulignés par plusieurs formations et associations locales , à savoir :

-- orientation tout loisir et tourisme

-- sabordage du port de commerce

-- privatisation des quais et du Domaine Public Maritime

-- détournement de la clientèle du centre ville vers le seul quai sud .

 

 A l'heure ou la saison touristique montre ses limites et où la pêche artisanale , après un cycle de vaches maigres, se remet à gagner sa vie de façon satisfaisante - on fait le choix de ce qui va banaliser le port sur des orientations incertaines du point de vue maritime. C' EST SUR LA PÊCHE QU' IL FAUT MISER AUJOURD'HUI ! Comme par le passé . Les quais ici ne sont pas très longs, il faut en réserver chaque mètre à nos marins. Faire tout pour soutenir un nouvel essor des activités productives traditionnelles, du cabotage, de l'emploi et de la manne qu'elles représentent - agrandir le terre plein de carénage et remettre la forme de radoub en service , par exemple, pour relancer les activités de maintenance qui s'appauvrissaient depuis quelques années .

 

Des hôtels , un casino , des salles de cinéma , une galerie marchande et des lieux de congrès ne sont pas à leur place sur un port . Est-ce avec ces trucs que l'on trouve n'importe où (genre Disney land) que l'attractivité et le caractère de Granville vont être relancés ? si encore on nous proposait un Musée de la Mer et d'histoire locale ... !

 

Ce mauvais projet n'a même pas fait réagir "l'opposition" départementale qui , comme tout le monde , connaît par contre le coût réel à long terme de ce genre d'aliénation du Domaine Public (DSP ou PPP) donc d'abandon de la maîtrise du futur de la Ville .

 

Ce projet ne fait pas du tout l'unanimité localement et nous soutenons sans réserve des Associations qui l'attaquent ainsi que l'analyse qu'elles en font .

 

Août 2018.

JMS

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27 août 2018 1 27 /08 /août /2018 08:10

Enfumage !

Le système « intelligent » consomme de 10 à 15% d’électricité en plus
En plus de l’augmentation de 20 à 30 % de la facture d’électricité qui résultera du fait que le comptage des compteurs Linky qui n’est plus en Kilo Watt heure mais en Kilo Volt Ampères,

il faudra d’après un poseur de compteur, ajouter la facturation (actuellement différée pour cacher son coût, c’est la raison pour laquelle ENEDIS dit que c’est gratuit) la pose du compteur estimée à plus de 200 € pièce, plus le compteur Linky lui-même dont on ne connaît pas le prix et le coût des 3 centres de gestion des données ni ceux des 3 réacteur qu’il faudra pour les faire tourner.
Les compteurs Linky mis au point en 2006 ont une durée technique de 5/7 ans, son logiciel ne pourra pas supporter les futures évolutions de la Transition énergétique, et la durée de vie de sa pile interne au lithium est limitée.
Après il faudra repayer un nouveau compteur.
La durée de vie des concentrateurs qui récupèrent les données émises par les compteurs est de 10/15 ans, et leur remplacement n’a pas été budgété.

Une fois déréglementé, les factures EDF vont déjà exploser pour rattraper les retards d’infrastructure, sans compter les Linky.

FUTURES FACTURES EN TRÈS FORTE HAUSSE Bonjour la note FINALE.

Il faudrait déjà commencer à affuter faux et faucilles de la Bastille, afin d’être prêts quand les totaux seront annoncés.

 Argument fatal contre Linky
 
Lors d’une intervention chez un client particulier ou professionnel, l’Assurance Responsabilité Civile Professionnelle est OBLIGATOIRE.
Elle doit être présentée à jour de cotisation, sur simple requête du client, et couvrir l’ensemble des activités d’ENEDIS et/ou de ses partenaires, ainsi que les dégâts matériels et immatériels qui pourraient être occasionnés par l’installation ou le fonctionnement du compteur LINKY.
Or, la société EDF Assurances (immatriculation RCS Nanterre 412 083 347, au capital de 39.000 euros) est un société de « courtage d’assurances et de réassurances » et non une compagnie d’assurance, comme le prouve son extrait Kbis : la société EDF Assurances n’est pas un assureur de dommages.
Par conséquent, la SA ENEDIS, en tant que personne morale assurant la promotion du LINKY dont elle a apposé la marque sur le capot en plastique jaune du compteur mis en place chez les abonnés, contrevient à l’obligation d’assurance à laquelle elle est tenue au titre de l’article 1792-4 du Code Civil. Ce défaut d’assurance prive ENEDIS de toute possibilité de contraindre ses clients à accepter le Linky et ses risques, car personne ne peut contraindre quiconque à assumer un risque pour lequel il n’est pas assuré.
Si ENEDIS n’est pas assuré, les collectivités locales censées prendre le relais en cas de sinistre ne le sont pas non plus, si l’on en croit les exceptions prévues par GROUPAMA dans le cadre de sa police VILLASSUR pour les collectivités. Les collectivités ou leurs représentants peuvent donc faire l’objet de poursuites au civil comme au pénal car aucune compagnie d’assurance depuis 2003 ne couvre les risques et dommages résultant d’une technologie liée aux champs électromagnétiques.
Ce manquement constitue, à lui seul, un motif de refus du compteur LINKY.
Source : Morphéus Nov. 2017 – Article de Patick RICHARDET

 

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17 août 2018 5 17 /08 /août /2018 17:57
vendredi 17 août 2018
Actuellement presque 14% de la production électrique, en France, est assurée par les barrages hydro-électriques : la VRAIE électricité non-carbonée, indéfiniment renouvelable, sans déchet, souple, idéale, quoi !
 
Ces barrages, dont la France est si bien pourvue, ont actuellement un rôle absolument essentiel. Pourquoi ? Justement, parce que la plupart du temps ils ne sont pas à pleine charge, au contraire leurs turbines fonctionnent au ralenti.
 
 
barrage-voûte de Castillon
 
En hiver, quand généralement le niveau de l'eau est au plus haut, se produisent de grands pics de consommation à certaines heures, pour l'eau chaude et pour le chauffage des ménages, et aussi à peu près aux mêmes heures pour le pic de démarrage des machines dans les usines.  En un quart d'heure au maximum, les turbines peuvent recevoir bien plus d'eau, rétablissant l'équilibre. Pour comparer, les centrales thermiques (y compris les centrales nucléaires, qui après tout ne sont que des bouilloires géantes) prennent plusieurs heures pour augmenter leur production de façon significative. Quant aux éoliennes, elles ne peuvent donner que ce que le vent leur accorde, ce qui est très aléatoire.
 
Rappelons que l'énergie électrique ne se stocke guère. En-dehors des (chères, polluantes à la production, encombrantes) batteries d'accumulateurs, ne peuvent intervenir dans de rares cas que des couples de lacs (un en haut, un en bas dans les montagnes) : quand la consommation se raréfie, et que le prix du KWh est au plus bas, des pompes-turbines près du lac du bas MONTENT l'eau dans le barrage supérieur, alimentées par des moteurs électriques ; en revanche, en cas de pointe les vannes du lac supérieur s'ouvrent, les turbines du haut se mettent à tourner, entraînant des alternateurs pour un apport électrique complémentaire quasi instantané. C'est tout de même limité.
 
 
Voilà que Bruxelles (enfin, les lobbies qui pilotent cette aberration) fronce les sourcils, et exige que la France vende ces régulateurs non polluants à la concurrence. Régulateurs payés avec nos impôts, autrefois, bien entendu. Certes, c'est une perte de patrimoine.
 
 
Mais c'est bien plus. Quand une boîte comme... bof... tout-à-fait au hasard Solvay (je ne sais pas du tout s'il est intéressé, c'est juste un exemple) acquiert de tels monuments, c'est pour faire des sous-sous, donc pour les utiliser au maximum. Que va-t-il se passer ? Actuellement le centre de régulation national (ou un de ses centres régionaux) de RTE téléphone (là encore au hasard) au responsable du barrage de l'Aigle, en lui disant de « pousser les feux » à sa grande machine au ralenti. Hop, c'est parti pour un apport supplémentaire de tant de mégawatts.
 
barrage de l'Aigle
 
Quand Solvay ou un autre en aura pris les commandes, ce ne sera plus possible puisque le barrage sera presque toujours au maximum de sa capacité, il n'y aura absolument plus d'effet tampon. Il faudra trouver un moyen de réguler d'une autre façon. Cette autre façon, c'est la coupure d'électricité aux usagers plus ou moins volontaires d'un secteur. Oh, ce sera facile, il suffira de lancer un ordre à tels et tels concentrateurs, qui répercuteront à tels ou tels CAPTEURS via le CPL. Couic, plus de courant à la machine à laver, ou au four en train de cuire un soufflé... vous imaginez le tableau !
 
Les CAPTEURS nouvelle génération (apparemment on ne dit plus Linky, les communicants à pattes se sont mordus les doigts et ont rectifié le tir) sont bien là pour cette compensation, en plus de leur collecte permanente de données. On va bien rire.... euh...
 
Comment éviter de "parler politique" ? Il s'agit là de notre vie de demain (pas dans dix ans, bien plus tôt). Les CAPTEURS sont un élément essentiel d'une stratégie bien élaborée et à nombreuses facettes.
 
 Ceux qui refusent aujourd'hui de le voir, le regretteront un jour proche. Ils auront pourtant été prévenus, mais leurs oreilles auront été fermées à ces indications. Les Cassandre sont toujours mal vus.

Cet article est illustré grâce à Lucas Grandin et Malou C.,
élèves de la première S SVT 622 du lycée Jacques de Vaucanson à Tours.
Merci à eux.
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5 juin 2018 2 05 /06 /juin /2018 08:15

 

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9 mai 2018 3 09 /05 /mai /2018 07:49
Samedi 5 mai parmi les nombreux rassemblements nationaux, 300 personnes ont formé une chaîne humaine dans le Vercors à l'appel des collectifs anti-Linky. Ce n'est pas le progrès qu'ils refusent mais le fait que les compteurs Linky outre qu'ils font craindre pour la santé, sont coûteux, intrusifs, incompréhensibles selon la Cour des compte
AFP/Jean-Pierre Clatot

Stéphane Lhomme, conseiller municipal de Saint-Macaire (33), animateur du site web répond à ces questions. Pour lui "les compteurs Linky résument la problématique de la France macronienne : un Etat violent dont les moyens sont mis au service des intérêts privés au détriment des citoyens".

 

L'Humanité.fr.- Quel bilan faites-vous de cette journée du 5 mai de mobilisation des collectifs anti-Linky et pourquoi une telle journée ?

Stéphane Lhomme : "Partout en France on note une démultiplication du refus des compteurs communicants et des méthodes imposées par la direction d'Enedis. Certains collectifs ayant décidé de mener des actions de protestation le 5 mai, cette date a finalement été retenue pour faire une journée nationale de protestation, mais la même date a ensuite été retenue pour les manifestations de la "Fête à Macron".

Du coup, certaines actions étaient autonomes, d'autres mêlées aux autres revendications sociales. C'est donc une mobilisation disparate qui a eu lieu mais, ce qu'il faut en retenir, c'est que le refus des Linky ne cesse de s'étendre."

L'Humanité.fr.- La grande question que tout le monde se pose est : peut-on refuser la pose d’un compteur Linky ? Et Gazpar ?

Stéphane Lhomme : "La réponse est apportée par plus de 600 communes (dont de grandes villes comme Tours) et des centaines de milliers de citoyens qui refusent ces compteurs communicants.

Certes, les délibérations municipales sont attaquées en justice administrative, mais c'est un long combat que nous espérons pouvoir gagner au final. Il faut noter que toute délibération municipale est en vigueur tant qu'elle n'est  (à supposer qu'elle le soit au final). Donc les élus municipaux peuvent - et doivent ! - protéger leurs administrés.

Quand ce n'est pas le cas, les habitants peuvent : il faut savoir que, malgré les rumeurs répandues par les sociétés privées chargées du déploiement, aucune mesure de rétorsion n'existe contre un habitant qui garde son compteur ordinaire : il ne risque aucune coupure du courant, ni de devoir payer le compteur plus tard, ou de payer une somme mensuelle, ce sont des balivernes inventées pour intimider les gens."
 

L'Humanité.fr.- Comment et sur quels critères les usagers qui refusent ce type de compteur peuvent s’appuyer ?

Stéphane Lhomme : "La situation est en réalité très simple pour plus de la moitié des compteurs du pays, qui sont situés dans les logements : l'habitant est alors protégé par la loi -  - car, même s'il est simple locataire, personne n'a le droit d'entrer dans son habitation.

Pour les autre cas (compteur qui donne sur la rue ou qui est dans les parties commune d'un immeuble), on assiste à une révolte pacifique et créative : les gens barricadent leurs compteurs avec des grilles, des parpaings, des chaines, etc. A nouveau la loi est claire et a été confirmée par le : les installeurs de Linky n'ont absolument pas le droit de briser ces protections."

L'Humanité.fr.- Pas toujours évident de dire non face aux agents sous-traitants d’Enedis. Que conseillez-vous aux usagers ?

Stéphane Lhomme : "Si le compteur est dans votre logement, ou dans le jardin bien fermé, il suffit juste de ne pas se laisser intimider par les menaces. Dans les autres cas, il faut photographier les installations et leurs protections, filmer le comportement des installateurs, mais aussi appeler la mairie : même si les élus locaux n'ont pas eu la bonne idée de délibérer contre le Linky, ils ont un devoir d'assistance auprès de leurs administrés dont le choix de garder le compteur ordinaire doit être respecté. Le maire peut même faire appel aux gendarmes ou policiers pour faire partir les installateurs et éviter ainsi des incidents graves."

L'Humanité.fr.- Et les mairies peuvent-elles s’opposer aux compteurs dits intelligents, comment et sur quels critères ?

Stéphane Lhomme : "Comme indiqué ci-dessus, les municipalités peuvent tout à fait prendre des délibération ou arrêtés contre le déploiement des compteurs communicants. Des procédures en justice administrative sont en cours. Il est vrai que les premiers jugements (en référé ou en première instance) ne nous sont pas favorables mais nous avons bon espoir de voir la donne changer en Cour administrative d'appel ou siègent des magistrats beaucoup plus expérimentés et plus susceptibles de mettre en exergue la réalité de la situation : même quand la commune a délégué sa compétence de distribution de l'électricité, elle reste propriétaire des compteurs d’électricité et peut donc s'opposer à leur remplacement par des Linky. Les commune de Bovel (35) et Tarnos (40) sont les plus avancées dans ces procédures, il faut les soutenir massivement - à cet effet les mairies et les élus disposent d'un mis gratuitement à leur disposition par le cabinet d'avocats Artemisia NDLR.

Concernant les compteurs communicants de gaz (Gazpar) et d'eau, la commune peut encore plus facilement s'y opposer, par exemple en refusant aux opérateurs le droit d'installer des antennes ou concentrateurs sur des bâtiments élevés comme le château d'eau ou l'église. Notons d'ailleurs que l’Évêché, qui a aussi son mot à dire, s'est opposée à l'installation de ces antennes dans tout le département de l'Aveyron : un excellent exemple à suivre."
 

L'Humanité.fr.- Quels arguments avancez-vous pour justifier votre opposition aux compteurs Linky et n'est-ce pas aller contre le progrès ?

Stéphane Lhomme : "Les compteurs communicants sont d'abord des "big brothers" à domicile qui vont capter sur la vie des habitants d'innombrables données utilisables à des fins policières ou commerciales : la société Direct énergie vient d'ailleurs d'être prise la main dans le sac à collecter illégalement les données du programme Linky. Et, plus globalement, l'affaire Facebook montre que les données sont toujours récupérées, volées, détournées, etc. La seule solution est d'avoir... un compteur ordinaire !
D'autre part, les Linky causent de nombreux désagréments : appareil ménagers qui dysfonctionnent ou grillent, installations qui disjoncte continuellement obligeant à prendre un abonnement plus cher, factures qui s'envolent sans raison : le déploiement des linky est un véritable programme anti-social !
Enfin, le linky met en jeu la santé voire la vie des habitants en générant des incendies qui peuvent être mortels, et en faisant circuler dans les fils électriques du logement des données par la technologie controversée du CPL qui fait que tous ces fils émettent des ondes qui peuvent être faibles mais dont la dangerosité est hélas avérée dans la durée : il ne faut donc pas se laisser tromper par les arguments comme "Cela émet moins d'ondes qu'un grille-pain" : vous ne faites pas des tartines 24h/24, alors que le CPL du Linky circulera continuellement.
Au final, le programme Linky semble synthétiser la problématique de la France macronienne : un Etat violent dont les moyens sont mis au service des intérêts privés au détriment des citoyens, de l'intérêt général et de la démocratie."

En lien 

 

Vous refusez l'installation d'un compteur Linky, vos droits

1.- Enedis et/ou l'entreprise sous-traitant chargée de la pose des compteurs Linky a l'obligation d'envoyer aux abonnés un courrier 45 jours avant la date du rendez-vous pour procéder au changement de compteur. 

En principe les techniciens de ces sociétés sont identifiables au logo « partenaire Linky » sur leurs badges et sur leur véhicule de fonction. De plus le courrier reçu par le client concerné, 45 jours avant le rendez-vous, doit mentionner le nom de l’entreprise chargée de la pose.

Ce courrier vous permet de connaître la date de venue des agents mais vous n'êtes pas obligé(e) de leur ouvrir ni d'être présent(e). Il vous sera alors fixé un autre rendez-vous que vous n'êtes pas non plus tenu d'honorer.

2.- Pas question d'accepter des rendez-vous par téléphone. Tout consommateur ou client peut faire jouer son droit d’opposition à tout démarchage téléphonique en le signifiant à la personne qui harcèle. A défaut possibilité de porter plainte auprès du CNIL (commission nationale de l’informatique et des libertés) sur 

3.- Les menaces de sanction ne tiennent pas. En effet,  la loi de transition énergétique ne sanctionne pas le refus individuel de changer son compteur existant contre un Linky. La CRE (commission de régulation de l’énergie) menacerait de taxer 19 euros HT par mois le relevé manuel des compteurs à tous ceux qui refusent Linky (dont le relevé se fait à distance). Ce qui serait illégal comme de couper le courant aux récalcitrants.

4.- Les agents chargés de la pose des compteurs Linky n'ont pas le droit d'entrer chez vous si vous refusez. L’article  sanctionne: « le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, agissant dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, de s'introduire ou de tenter de s'introduire dans le domicile d'autrui contre le gré de celui-ci hors les cas prévus par la loi ». Il faut donc observer deux points :

  • la violation concerne le domicile, c’est-à-dire, selon la jurisprudence, le local d’habitation, mais également ses dépendances (cave, terrasse, balcon, jardin ou cour) à condition que ces dépendances soient closes : aucune protection ne peut être reconnue à une cour ou un jardin ouvert sur l'une de ses faces, ce qui permet l'accès à tout venant ;
  • si l’occupant a donné son accord, même tacitement, il n’y a pas d’infraction. Sur ce point, la jurisprudence considère qu’une porte (ou un portail) fermée à clé peut être apparentée à un refus implicite. Par extension, on peut considérer qu’une porte (ou un portail), fermée mais pas à clé pourrait être également apparentée à un refus tacite. Toutefois, rien n’est certain sur ce point, dans la mesure où la jurisprudence ne s’est pas clairement positionnée.

5.- Indépendamment des délibérations et moratoires des conseils municipaux s’opposant  aux Linky, les usagers ont la possibilité de demander à leur maire de refuser l'installation d'un Linky comme d'un Gazpar ou son retrait si celui-ci a été installé selon les explications et la lettre type (à envoyer au maire) à télécharger sur 

C’est mieux que d’agir seul et le fait que l’installation d’un compteur doit faire l’objet d’un courrier 45 jours avant la date prévue, laisse du temps.

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6 février 2018 2 06 /02 /février /2018 19:09

 

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24 avril 2017 1 24 /04 /avril /2017 07:11
 

Non au démantèlement du patrimoine maritime et culturel de  REGNEVILLE sur MER

Nous venons d'apprendre la décision très avancée du conseil départemental de fermer le musée des fours à chaux ce qui entraînera aussi le non renouvellement de l'exposition temporaire du musée dans l'aile nord du château " les moissons de la mer". Et plus largement, nous craignons que cette fermeture ne conduise à terme à l'abandon du site des fours à chaux et du château.

Pourtant, le musée des fours à chaux c'est:

· Tout d'abord, un site touristique remarquable et exceptionnellement bien conservé.

·  Un musée maritime avec deux expositions, autour de " l'histoire de REGNEVILLE, port d'échouage", l'histoire des techniques de la production de la chaux  et de ses usages.

· Et, sur la saison d'été, ce sont aussi des animations, ateliers d'art et de découverte autour du travail de la pierre et de la chaux et un spectacle des arts du cirque (1500 personnes sur trois jours).

· C'est également une équipe de salariés permanents au service de la culture locale et de l'entretien des sites qui participe activement avec les associations locales au développement des animations au château.

Leur  départ entraînera un délabrement des deux monuments et de leur environnement.

·  Au total, l’équipe du musée de Regnéville-sur-mer , accueille chaque année, plus de 16 000 visiteurs.

 La fermeture du musée c'est :

· Trahir la confiance des donateurs, pour la plupart Regnévillais, qui ont contribué à la richesse des collections exposées, 

·  Mettre à mal tout ce qui a été développé depuis plus de six ans à la fois sur le plan touristique, humain et culturel dans le cadre du programme d'animations "Un château à tire d'aile" qui attire chaque année plus de 12000 visiteurs sur le site du château.

·  Un non sens économique qui va à l'encontre de la volonté affichée du département de développer le tourisme. Les visiteurs, qui viennent nombreux dans notre région séduits par la qualité des paysages et des sites, ont de plus en plus envie d'autre chose, envie de comprendre notre passé, notre présent .

 signer la pétition        

  ALORS, NON A LA FERMETURE DU MUSEE         

Association Regnéville Maritime,

14 bis rue des Cap-horniers , 50590 REGNEVILLE/MER

regneville.maritime@gmail.com

www.regnevillemaritime.fr

Cette pétition sera remise à:
  • Président du conseil départemental de la Manche
    Monsieur Philippe Bas
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12 avril 2016 2 12 /04 /avril /2016 09:21
"Nuit debout" et "En Marche!", Deux nouvelles visions de la politique s'affrontent

Des Français expriment ces derniers jours leur "ras-le-bol" du pouvoir traditionnel et leur envie de faire de la politique autrement.

Depuis une semaine, chaque soir, des centaines de personnes se retrouvent sur la place de la République à Paris pour dénoncer la précarité, le mal logement, les "violences policières", la corruption, la collusion des élites. Ce mouvement, baptisé "Nuit Debout" a gagné de grandes villes de province, et se répand en Belgique.

"L'idée, c'est de recréer une agora dans l'espace public", résumait Marc, 26 ans, qui a passé la nuit de mercredi à jeudi sur la place du Capitole à Toulouse (sud-ouest). "On veut exprimer un ras-le-bol général, contre la société, le gouvernement. Reprendre la politique entre nos mains."

Dans un autre registre, le ministre de l’Economie Emmanuel Macron, 38 ans, annonçait lors d'une "rencontre citoyenne" le lancement d'un nouveau mouvement "ni à droite, ni à gauche" intitulé "En marche". Le ministre, qui incarne le virage "social-libéral" du gouvernement socialiste, "est le seul homme politique qui propose quelque chose de transpartisan et quand on est jeune, on a du mal à se mettre dans les cases droite/gauche", commentait Pierre Wolff, à l'issue d'un débat organisé à Amiens (nord).

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