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11 septembre 2018 2 11 /09 /septembre /2018 07:20
Extrait du livre de Claire Sévrac: La guerre secrète contre les peuples

Très habilement, les princes du mondialisme utilisent des « idiots utiles », qui pareils au « joueur de flute de Hamelin » charment les rats pour les envoyer se noyer, conditionnent des foules inquiètes pour mieux les asservir et les anéantir au service d’une cause transformant la planète en prison.
PIERRE HILLARD

Dans un premier temps, chez la majorité des gens, la suggestion, les mensonges, la propagande, suffisent pour qu’ils ne se posent pas de question.
Sylvain Timsit a compilé une liste des dix stratégies de manipulation élémentaires dont nous sommes victimes à longueur de temps :

La stratégie de la diversion
Pour éviter que les gens ne s’intéressent aux problèmes importants, on détourne leur attention en les abreuvant d’informations insignifiantes du genre : Le Président a une maîtresse… Brad et Angélina vont divorcer… Le Parlement européen somme la France de se déclarer contre la fessée donnée aux enfants…
« Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivés par des sujets sans importance réelle.
Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux ».
Peut-on lire dans le document « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ».
C’est le Panem et circenses – « Donnez-leur du pain et des jeux ! » - de la Rome antique.

La technique du « problème-réaction-solution.
 La technique a été isolée par David Icke dans son livre The Biggest Secret : Les autorités créent un problème en désignant des personnes à blâmer, ce qui va susciter une réaction émotionnelle du public, très souvent la peur, afin qu’il soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.
Les autorités offrent alors les solutions.
Les exemples sont multiples : annoncer une pandémie qui se rapproche et tue tout sur son passage, puis arrivée du vaccin qui va tous nous sauver ; laisser se développer la violence urbaine ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté ; ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
C’est « découvrir » un charnier, assassiner un opposant pour déclencher une guerre, c’est l’incendie du Reishstag, Charlie…
L’ordre par le chaos !
C’est ainsi qu’ils pourraient réussir à « pucer » une majorité de la population le moment voulu.
Lors d’une énorme catastrophe climatique, nucléaire ou encore d’une pandémie, en échange de l’accès aux soins ou sous le prétexte de contrôler les déplacements des malades ou des terroristes, en plein état de choc et d’épouvante, la majorité des gens se battraient, j’en ai bien peur, pour être « pucés ».

La stratégie du dégradé
C’est la « métaphore de la grenouille » d’Olivier Clerc : Si on plonge une grenouille dans l’eau bouillante, elle va rassembler ses forces, bondir et s’arracher du chaudron.
Si on la met dans l’eau froide que l’on réchauffe peu à peu, elle va d’abord trouver cela agréable, puis peut-être un peu trop chaud, elle va supporter et s’habituer jusqu’à ce que ce soit intolérable, mais là, elle sera trop épuisée pour trouver la force de s’en tirer.
C’est ce que font les gouvernants : « pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en dégradé, sur une durée de dix ans.
C’est comme cela que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années quatre-vingt.
Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaire n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement ».
Comme la suppression de la démocratie, qui se fait sournoisement, mesure après mesure, depuis des années ; et plus on nous vole, plus on réduit nos libertés, plus on nous vante la chance que l’on a de vivre protégés par les « valeurs de la République »
Pendant que les épandages nous rendent amnésiques !

La stratégie du différé
« Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. »
Baisser les retraites et allonger la durée du travail par exemple, ou l’augmentation du prix de l’essence qui, nous dit-on, n’entrera en vigueur que dans un an, en janvier…,
« Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat.
D’abord parce que l’effort n’est pas fourni tout de suite, ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que les choses s’arrangeront entre temps et que le sacrifice demandé pourra être évité, enfin, cela laisse le temps au public de l’accepter avec résignation le moment venu.

S’adresser au public comme à des enfants en bas âge
La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental. »
Plus on essaye de nous manipuler, plus on nous parle comme à des gamins demeurés. Il y a une raison à cela en psychologie : «  Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de douze ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura probablement une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celle d’une personne de douze ans ».

Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
« Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.
De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la voie de l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements… »
Par exemple : le clip des campagnes du vaccin contre le papillomavirus, qui montrait la mère abritant sa fille de la pluie en tenant une veste au-dessus de leurs têtes pendant que la voix off mentait en promettant la protection contre le cancer du col de l’utérus… l’attentat contre Charlie Hebdo où l’émotion a été immédiatement canalisée dans une marche et un slogan : « Je suis Charlie », rassemblant plus d’un million de personnes, qui pour la plupart, ne connaissaient pas « Charlie » ; et ce avant que chacun puisse avoir la moindre idée personnelle sur le sujet.
Ou : la Terre se réchauffe dangereusement du fait des seules activités humaines…, si nous ne faisons rien, nous allons creuser la tombe de nos enfants…
Conclusion : Il faut payer l’écotaxe !  

Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
« Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. »
Comme cela est prévu dans Armes silencieuses pour guerre sans bruit :
« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre possible, de sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures, soit et demeure incompréhensible des classes inférieures.
Avec un tel handicap initial, même de brillants éléments des classes inférieures n’ont que peu d’espoir de s’extirper du statut qui leur a été assigné dans la vie.
Ce n’est évidemment pas par hasard si l’Education nationale périclite chaque jour davantage, et si 80% des élèves des universités et des grandes écoles sont issus des classes moyennes et supérieures.

Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Le prêt-à-penser de bas étage, l’explosion des émissions de téléréalité aux concepts totalement imbéciles, offrant des stars vulgaires et incultes comme modèles ou comme héros aux enfants et aux adultes !

Remplacer la révolte par la culpabilité
« Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités ou de ses efforts.
Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’autoévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de Révolution ! »
Vous êtes au chômage par manque de formation : suivez un stage et tout ira mieux !
C’est Emmanuel Macron et les « illettrés » de Gad…
Combien de messages d’indignation nous recevons, tous les lanceurs d’alerte, pour nous dire : « Il faut changer les choses, faire ceci ou cela…faites-le, vous, parce que moi je ne suis rien ou je ne suis pas capable de faire… »
On a inculqué aux gens leur impuissance et leur résignation, alors que chacun doit
Faire ce qu’il croît être juste.

Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
« Au cours des cinquante dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes.
Grâce à la biologie, la neurobiologie et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement.
Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même.
Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes. »

Par ailleurs, ils ne crachent pas non plus sur une petite aide chimique pour nous discipliner : LE FLUOR DANS L’EAU DU ROBINET.
Or de nombreuses études scientifiques dont celle du Dr Joseph Mercola, prouvent qu’outre le fait que le fluor endommage le foie et les reins, affaiblit le système immunitaire, durcit les artères participant à l’épidémie des maladies cardiovasculaires, le fluor rend les gens dociles, et qu’en agissant sur les neurones, il conduit à la perte du sens critique et de la mémoire.

 

ORIGINE : LIVRE « LA GUERRE SECRÈTE CONTRE LES PEUPLES » DE CLAIRE SÉVRAC EDITION ELIE ET MADO

 

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