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3 décembre 2018 1 03 /12 /décembre /2018 08:55
Greenpeace
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Bonjour,

Le climat vaut mieux que du blabla ! C’est le message que nous voulons envoyer à Emmanuel Macron en ce jour d’ouverture de la COP24, conférence internationale des Nations Unies sur les changements climatiques.

En dépit des dernières alertes des scientifiques du climat et de l’urgence climatique qui touche déjà notre pays et de nombreux autres dans le monde, la France refuse d'atteindre ses objectifs climatiques. Cette inaction ne peut plus durer. 
Émissions de gaz à effet de serre en hausse, forages pétroliers au large de la Guyane, importations massives d'huile de palme à La Mède, nouveaux projets routiers et autoroutiers, retards injustifiables sur les énergies renouvelables : Emmanuel Macron n'est pas le champion du climat. 
Lire l'article
La COP24 est un moment crucial pour l’action climatique internationale, le Président français doit montrer l'exemple en enclenchant véritablement la transition écologique et en interdisant les projets climaticides. 
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à Emmanuel Macron
Ensemble, demandons à Emmanuel Macron de mettre la lutte contre le changement climatique au cœur des priorités de son gouvernement. 
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Ce n’est plus uniquement notre avenir que la crise climatique met en danger, c’est notre présent : décideurs politiques, réveillez-vous !

Merci d’agir à nos côtés, 
L’équipe de Greenpeace France
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2 décembre 2018 7 02 /12 /décembre /2018 09:25
N'oubliez pas la Marche pour le Climat à Cherbourg, le samedi 8 décembre à 15h. Rassemblement prévu sur le parvis des Eléis.
 
Vous êtes également conviés lundi 3 décembre, à 18h30 au même endroit pour un point presse.
Le CL Attac prépare une allocation mais profitons du moment pour en faire une tribune libre ! Que chaque personne ou organisation qui le souhaite puisse y prendre la parole.
Lors de la Marche du 8, nous tenons à rappeler notre attachement à la liberté des formes d'expressions. L'intitulé est certes "Marche pour le climat" mais nous savons toutes et tous que l'urgence va au-delà, autant sur les questions environnementales que sociales. Ces deux axes de mobilisation sont liés, plus encore en cette période de soubresauts populaires.
 
Il est ainsi futile de s'alarmer quant au changement climatique, sans aborder la question des pesticides, de la production agricole. Pour cela, et entre autre de la Marche pour le climat, le collectif "Nous voulons des coquelicots" appelle à un rassemblement vendredi 7 décembre à 18h30 à la mairie de Cherbourg. (lien vers l'événement FB : https://www.facebook.com/events/308505196664404/)
 
Enfin, pour celle est ceux qui se trouveraient dans le département mais loin de Cherbourg, des Marches sont prévues à Coutances et Avranches.
 
Bien cordialement
 
François Roupsard,
pour le comité local Attac Cherbourg-Manche
 
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26 novembre 2018 1 26 /11 /novembre /2018 19:04

Le président de la région Hervé MORIN ne recule devant aucun sacrifice pour sauver une nouvelle fois non pas la Normandie ou la France, mais la biodiversité en péril, du fait de l’homme et surtout et principalement du fait de l’agriculture productiviste, à force de pesticides et d’intrants chimiques.

 

Mais me direz vous il va mobiliser l’ensemble des associations environnementales normandes pour se faire ?

Eh bien non, beaucoup mieux, il vient d’annoncer un partenariat avec la fédération des Chasseurs Normands (au nombre impressionnant de 80 000) grands défenseurs de l’environnement et de la biodiversité biens connus pour tirer dans tous les coins dès l’ouverture de la chasse. (voir Ouest France du 23 11 18).

 

Pour ce faire il compte bien débourser quelque 226 000 €, fichtre !

 

Donc notre homme serait un précurseur ? Non pas, il imite ses collègues de Rhône-Alpes Auvergne, un certain Wauquiez, qui a filé l’argent aux chasseur en réduisant les sommes versées aux associations environnementales, et du Nord Pas de Calais un certain Bertrand, qui a nommé président de la commission environnement un chasseur, et qui a signé un contrat dans l’Oise de milice afin d’épauler (et tirer) la gendarmerie pour lutter contre le braconnage.

 

Vous ne trouvez pas que cela pue un peu tout cela la fachosphère !

 

Allez voir le site du conseil régional c’est édifiant et consternant.

 

Il est vrai qu’il se démène le président de région, il se ballade partout dans le monde, se prenant quasiment pour le chef de l’État Normand, faute d’être le chef de l’État Français, et heureusement.

 

Confier la biodiversité aux chasseurs, c’est comme confier la gérance d’un magasin de porcelaine à des éléphants et pourtant j’aime bien les éléphants.

 

S’il pratique avec la biodiversité comme il le fait avec le transport ferroviaire, concentré entre Caen, Le Havre, Rouen et Paris, pour le reste démerdez vous ! Mais il dépense sans compter en achetant de nouvelles rames pour les inter cités, mais quid des TER, et notamment de la ligne Paris Granville, des guichets de gares quasiment tous fermés, alors qu’il faut relancer ce mode de transport collectif le moins dommageable à l’environnement, ainsi que le fret ferroviaire. Mais tout est mis en œuvre pour dégouter les gens de prendre le train plutôt que la bagnole.

 

La protection de la biodiversité passe aussi par une réduction drastique des fonds pour par exemple l’aménagement de la deux fois deux voies entre Granville et Avranches, consommatrice de terres agricoles perdues DÉFINITIVEMENT et incompensables sauf à déshabiller Pierre pour habiller Paul, avec la bénédiction de la FDSEA.

 

Franchement vous prenez les gens pour des imbéciles qui j’espère s’en souviendront lorsqu’il faudra voter.

Joël Bellenfant

 

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3 octobre 2018 3 03 /10 /octobre /2018 07:30

Bonjour,

Saviez-vous qu’un fournisseur d’électricité « verte » peut en réalité vous fournir de l’électricité issue du charbon ou du nucléaire ?

Afin de vous aider à démêler le vrai vert du faux, nous venons de lancer le premier classement des fournisseurs d’électricité, sur
www.guide-electricite-verte.fr.

Vérifiez tout de suite si votre fournisseur d’électricité fait partie des pires pollueurs ou s’il est vraiment vert : 

VOIR LA PLACE DE MON FOURNISSEUR
Passer à une électricité vraiment renouvelable, sans gaz à effet de serre et sans déchets nucléaires, n’a jamais été aussi facile.

Vous trouverez sur le site
www.guide-electricite-verte.fr, en plus du classement, de nombreuses infos pour changer facilement de fournisseur et comprendre le fonctionnement de l’électricité en France.

Si vous avez déjà opté pour un fournisseur vraiment vert, on compte sur vous pour faire connaître ce classement à votre entourage. Nous espérons être de plus en plus nombreuses et nombreux à soutenir la transition énergétique.

Merci de votre confiance. A très bientôt ! 
Laurent, de l’équipe Energie de Greenpeace France
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2 octobre 2018 2 02 /10 /octobre /2018 07:56
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29 septembre 2018 6 29 /09 /septembre /2018 08:01
 
De qui se moque-t-on ?

Emmanuel Macron a reçu le prix de "champion de la Terre" des mains d'Erik Solheim, le directeur du Programme des Nations unies de l'environnement (PNUE). Tous les ans depuis 2005, cette émanation de l’ONU récompense cinq à sept personnes reconnues comme "leaders environnementaux exceptionnels". Emmanuel Macron rejoint ainsi une liste de quelques dizaines de récipiendaires, dont l'ex-présidente chilienne Michelle Bachelet, l'ex-candidat à la présidentielle américaine Al Gore ou le documentariste français Yann Arthus-Bertrand.

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29 septembre 2018 6 29 /09 /septembre /2018 07:47

 

 

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25 septembre 2018 2 25 /09 /septembre /2018 08:41

« Trop sévère » disent certains, « nécessairement stricte » pensent les autres. Les premiers veulent l’assouplir pour créer de nouveaux secteurs d’urbanisation dans les communes littorales, les seconds souhaitent son renforcement pour tenir compte des effets du changement climatique.

Mais à force de proposer des amendements, on laisse penser que sa modification est inéluctable.

Or, cette loi est soutenue par les citoyens français. Un sondage IFOP de 2014 faisait état de l’opposition de 91 % de la population française à l’ assouplissement de la loi littoral.

Si les amendements sont discutés entre parlementaires, aucun débat réel au niveau national, impliquant ces mêmes citoyens, n’est organisé.

Dans ce climat délétère pour la loi littoral, Manche-Nature organise, à son échelle,

un débat public et contradictoire,
sur l’avenir de la loi littoral
le samedi 6 octobre 2018 de 14 h à 18 h,
à la salle municipale de Lingreville

avec les élus : Mme Sonia Krimi, députée de la Manche, M. Grégory Galbadon, député de la Manche et M. Gérard Dieudonné, maire de la Lucerne d’Outremer et membre du comité de pilotage de Notre littoral pour demain ; et Les associations : Manche-Nature, Granville et Pays de Granville Environnement et l’association des Fermes de Carteret, et en présence de France Nature Environnement pour ouvrir et clôturer le débat.

Programme
  • 14 h accueil, avec café.

  • 14 h 20 : Présentation par M. Yves GRALL, président de Manche-Nature

  • 14 h 30 : Rappel historique de la loi Littoral (France Nature Environnement)

  • 15 h 00 : point de vue des différents intervenants.

  • 15 h 30 : 1ère partie du débat :

    • Faut-il assouplir les dispositions de la loi Littoral ?

    • Quelles seraient ou seront les incidences des amendements proposés dans le cadre de la loi ELAN ?

  • 16 H 30 : 2e partie du débat :

    • Faut-il renforcer les dispositions de la loi Littoral ?

    • Comment anticiper les effets du changement climatique ?

  • 17 h 30 : Clôture de la journée par France Nature Environnement

18 h 00 : Pot de clôture.

 


Pour plus d’informations, nous vous invitons à lire la note de positionnement de FNE (France-Nature-Environnement) concernant les amendements loi Littoral du projet de loi ELAN ainsi que l’analyse personnelle ci-dessous d’un adhérent de Manche-Nature.


Amendements loi littoral
Préambule

Je suis assez d’accord sur le constat que fait France Nature Environnement par rapport à la loi Littoral, notamment et plus précisément sur le titre « Vers un affaiblissement de la loi Littoral ».

Nous sommes bien placés dans le département de la Manche pour en constater les atteintes constantes tant de la part des élus que de la part des « bâtisseurs » de tout poil plus prompts à faire gonfler leur compte en banque, qu’à respecter l’environnement et la biodiversité.

En conséquence :

J’ai relu l’ensemble des articles du Code l’urbanisme de L121-2 à L121-24, et très franchement je ne vois pas l’intérêt de ces amendements qui n’ont effectivement qu’un but : légaliser le mitage organisé du littoral par les élus depuis plusieurs décennies, sans ou au travers des documents d’urbanisme successifs, en évoquant de combler des « dents creuses » qui n’ont aucune existence juridique.

Sur l’article 12 quinquies :

Seuls certains SCOT (tel celui du Pays de la Baie du Mont Saint Michel) ont tenté d’en donner une définition géographique, ainsi d’ailleurs qu’un document de la DDTM de la Manche.

Concernant encore les « dents creuses » et pour parler pratique, en qualité de représentant de l’association MANCHE NATURE à la CDPENAF de la Manche, tous les documents d’urbanisme qui nous sont présentés doivent identifier lesdites dents creuses, dont nous rejetons une grande partie parce qu’elles n’en sont pas, ou parce qu’elles ne sont pas identifiées.

La remarque est très juste concernant les SCOT car le fait d’outrepasser la procédure normale de révision de ces derniers est d’autant plus pernicieux que ceux-ci devraient être encore plus vertueux, notamment en matière de consommation d’espace et plus particulièrement agricole.

Par ailleurs l’article L121-8 modifié prévoit en b) des constructions en dehors de la bande des 100 m… Ce n’est pas acceptable, les effets du réchauffement climatique, entrainant un recul du trait de côte, vont nécessiter une bande littorale non aedificandi plus importante, en tenant compte notamment des plans de prévision des risques littoraux.

Il y a aussi à revoir la notion de « hameaux nouveaux intégrés à l’environnement » figurant dans l’actuel article L121-8, qui mérite d’être redéfini pour ne pas justifier une extension excessive dans des endroits littoraux, susceptibles d’être touchés par le recul du trait de côte.

Ces deux amendements doivent être purement et simplement retirés.

Sur l’article 12 sexies :

Encore une fois les sénateurs tentent d’autoriser des constructions ou installations nécessaires aux activités agricoles, forestières et aux cultures marines !

Mais pourquoi diantre introduire ce genre de texte au sein de l’alinéa 2, et 4 du projet d’article L 121-10, ces activités n’ont aucun besoin d’être proches du rivage, notamment les activités conchylicoles souvent situées dans les dunes, certes en retrait de la bande des 100 m, mais modifiant considérablement la biodiversité de ces espaces.

Ceux-ci devraient au contraire être protégés et acquis par le conservatoire du littoral.

Par ailleurs curieusement ni les députés ni les sénateurs n’ont touché à l’article L121-18 qui dit que « l’aménagement et l’ouverture de terrains de camping ou de stationnements de caravanes sont interdits dans la bande littorale » ! Ce fait pour la simple raison que par exemple sur la commune de Gouville dans la Manche, deux terrains de camping limitrophes sont installés dans la bande des 100 m, la mer va très prochainement entamer la voie littorale d’accès, qui se trouve à quelques mètres du trait de côte, après avoir déjà mangé et détruit les « gros sacs » de sable mis en protection de la dune !

Cet amendement doit donc aussi être purement et simplement retiré.

Article 12 septies AA :

Effectivement cette réflexion de FNE est tout à fait juste, c’est un frein énorme à la décentralisation, alors qu’il faut justement des documents d’urbanisme plus vertueux à commencer bien sûr par les SCOT, d’autant plus que l’on se dirige de plus en plus par des PLUi, qui vont contraindre certaines communes à revoir leurs velléités d’urbanisation forcée (et je modère mon propos).

Cet amendement doit donc aussi être purement et simplement retiré.

Article 12 septies AB :

Il me semble que cet amendement émane d’un lobby quelconque.

Il est préférable qu’il soit purement et simplement retiré.

Article 12 nonies :

Les remarques de FNE sont parfaitement justes, de plus pour souligner le fait que l’article initial ne doit pas être modifié, c’est qu’il contient l’enquête publique pour les projets d’aménagement, alors que dans l’amendement est ajouté l’avis de la CDNPS.

Il est question aussi quelque part des espaces remarquables, mais heureusement les sites classés sont protégés, mais il ne faut surtout pas ouvrir la boite de pandore.

Les sénateurs de la Manche (Bas et Bizet, mais surtout ce dernier) ont tout fait pour obtenir la légalisation de la bergerie de Genêts (sur laquelle Manche-Nature a gagné devant les tribunaux).

Le sénateur Bizet avait d’ailleurs lors du passage de la loi ELAN au Sénat déposé un amendement spécifique, heureusement rejeté. C’est dire s’il a de l’obstination à vouloir détricoter la loi Littoral et encourager le massacre du littoral.

En ce qui concerne la Corse formant deux départements français, la loi doit s’y appliquer sans dérogation et sans statut particulier.

Ces amendements doivent être purement et simplement retirés.

Conclusions

Ces amendements à la loi Littoral ont pour objet soit de renforcer le rôle de l’État au détriment des documents d’urbanisme (SCOT – PLU – PLUI – Cartes Communales), mais surtout d’une manière assez pernicieuse soit d’empêcher les recours (notamment en réduisant les délais de recours ou en bloquant le principe de ces recours) soit en limitant les commissions départementales intervenantes, puisque dans les propositions faites il n’est question que de la CDNPS et que la CDPENAF n’est jamais citée alors que son rôle trop souvent cantonné à la consommation d’espace agricole, est de préserver les espaces naturels, agricoles et forestiers.

A titre d’exemple, quand un projet de PLU prévoit une modification d’une zone NS, la CDNPS n’est interrogée que sur des espaces boisés classés, et qu’il est considéré que la remarque en CDPENAF de ce changement n’est pas retenue ni jugée de sa compétence.

Enfin la proposition de création d’une commission nationale Loi Littoral pour travailler à un renforcement de la loi face aux conséquences du changement climatique entraînant un recul inévitable du trait de côte, me paraît opportune à condition de ne pas être constituée uniquement de parisiens et d’énarques mais de représentants régionaux de terrain.

Enfin n’a pas été introduit par les députés ni les sénateurs la question de la forme du repli à organiser en fonction du recul du trait de côte. Ceci a fait l’objet d’autres réunions ou décisions notamment du conseil d’État en ce qui concerne l’immeuble du Signal.

Cette question doit être traitée par cette commission et introduite dans la loi de manière claire.

En gros il n’est pas question que le contribuable paie les inconséquences de permis délivrés par des élus avides de bétonisation, ou incompétents, voire les deux.

L’expertise immobilière est très technique sans tomber sous les fourches caudines du « Marché ».

Joël BELLENFANT

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17 septembre 2018 1 17 /09 /septembre /2018 16:32

Nous, citoyens, militants, syndicalistes élus, nous faisons part de notre colère et de notre incompréhension suite à l'abandon de la filière Hydrolienne par Naval Énergie avec la complicité implicite de L’État qui fait le choix de tourner le dos à une filière d'avenir.

Ce choix financier est pris au moment même où une hydrolienne a été raccordée au réseau électrique au Canada par Naval Énergies.
Ce choix politique est pris quelques semaines après l'inauguration d'une usine financée et assurée par les collectivités, région, Cotentin et ex agglomération cherbourgeoise.
Cette décision est justifiée par l'argument d'une absence de rentabilité de ce type de production. C'est laisser de côté la nécessité pour l’État de procéder à des investissements dans la durée pour atteindre les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique. 

Les effets de l'économie carbonée et des énergies fossiles sont à présent connus de tous les responsables, les décisions politiques devraient donc être prises au service de cette lutte d'intérêt général. 

En pleine révision de la loi de programmation pluriannuelle de l'électricité nous demandons au gouvernement de ré-affimer dans ce document une ambition pour cette filière. 

Nous demandons à l’État et à Naval Group la transparence sur les ressources publiques versées et reçues.

Nous demandons que l’État exige de Naval Group qu’il participe à la structuration des énergies marines renouvelables. Ce groupe doit devenir un outil et un levier au services de la politique énergétique. 

Dans le Cotentin il existe un outil participatif qui s'appelle le conseil de développement, nous demandons que celui-ci s'auto saisisse du sujet des EMR pour que le public puisse mieux encore appréhender les enjeux et les perspectives de développement économique du Cotentin et plus largement de toute la Normandie.

D’autres exigences sont nécessaires face à des décisions financières qui tournent le dos aux enjeux écologiques et sociaux.

Nous lançons cet appel parce que nous considérons que ces choix sont non débattus, non démocratiques, non légitimes.

Imposés par quelques-uns, ils doivent être revus et corrigés le plus rapidement possible.

Nous prendrons les initiatives citoyennes nécessaires pour populariser et faire grandir cet appel.

Signez la pétition

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3 septembre 2018 1 03 /09 /septembre /2018 08:11

 

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